Vendredi 8 mai
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15:13
Etonnantes rencontres,
Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne. C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
- Allo Sandra, j’ai quatre nouvelles qui t’attendent au club.
- Merci de m’avoir appelée, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son coup de fil, car il me présente souvent des partenaires excitantes et très féminines.
Comme toujours, je ressens l’excitation particulière du premier rendez-vous.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l’unique but de prendre et de donner du plaisir.
J’agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105/C.
Puis, je glisse sur mes hanches un adorable slip ouvert qui me laisse prête à faire l’amour en toute circonstance.
Car, j’aime être prise dans les lieux publics : parc, porche, escalier, arrière salle de café…
La crainte d’être surprise dans ces moments là redouble mon excitation.
J’enfile mes bas en les fixant aux quatre paires de jarretelles et caresse avec émotion ces fibres de nylon qui m’électrisent les sens.
Je fais quelques pas dans la chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour faire crisser les mailles à chacun de mes pas.
Sortant d’un tiroir un préservatif féminin, je m’allonge sur le lit et l’enfonce dans mon fourreau en déployant la corolle en latex autour de ma rosette.
Cette protection est très pratique, car je peux la laisser en place toute la journée et faire l’amour sans devoir la changer entre deux rapports.
Elle me permet aussi en fin de séance de voir le volume de sperme que j’ai recueilli dans mon ventre.
Devant ma coiffeuse, je pose mes faux cils en me coiffant d’une perruque blonde coupée au carré et j’achève ma métamorphose en donnant une légère retouche à mon maquillage.
Je plaque mon sexe vers l’arrière en le fixant avec un adhésif avant d’agrafer à ma taille une jupe marron très courte que j’assortis à un corsage plus clair.
Puis, je m’entraîne devant le miroir à retrouver les poses et attitudes qui accentuent ma féminité.
Les fesses et la poitrine bien cambrées, j’adopte une démarche souple et sensuelle.
Je prends beaucoup de plaisir à me transformer peu à peu en une fille crédible et attirante.
Enfin prête, je quitte mon appartement d’un pas rapide juchée sur mes talons aiguilles.
Dans la rue, je prends conscience du regard des hommes qui me dévisagent et j’amplifie mon déhanchement en les fixant dans les yeux quand je les croise.
Ils sont attirés par mon côté sexe mais semblent craindre de ne pas être à la hauteur de mon tempérament volcanique.
Les femmes plus subtiles, devinent ma double identité et me considèrent d’emblée comme une dangereuse rivale.
Je leur adresse alors mon plus beau sourire en leur montrant que je ne suis pas indifférente à leur charme.
Déstabilisées, elles ne savent plus alors quelle attitude adoptée.
Arrivée au club, j’interpelle Steve en montant l’escalier quatre à quatre.
- Envoie moi ta première protégée dans la chambre « chevalier d’éon » et demande lui de ne garder que ses dessous.
J’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Betty apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde visiblement débutante et timide qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente et un collant moule son sexe en la rendant provocante malgré elle.
Son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret témoignent d’une faible expérience en la matière.
C’est donc avec amusement que je me décide à assumer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi, lui dis-je en me déshabillant.
J’enlève mon corsage et dévoile mes seins comprimés dans ma guêpière pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant.
J’ai encore le temps de retirer ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit.
Je décalotte son gland en le frottant lentement sur les fibres de nylon de son collant.
C’est avec une certaine émotion que je vois sa queue se gonfler pleine de désir.
Puis, je masturbe Betty en lui pressant tendrement les bourses.
Cela l’excite fortement et elle se met à trembler de désir.
Sachant qu’elle ne tiendra pas longtemps, je l’aide à retirer son collant en lui disant :
- Viens vite ma chérie avant qu’il soit trop tard.
J’écarte lentement les cuisses en lui montrant par la fente de mon slip ouvert mon œillet qui palpite d’impatience.
Betty, s’agite fébrilement et hésite encore à céder à ses pulsions.
- Fais moi l’amour, lui dis-je d’une voix chaude en l’encourageant du regard.
A ces mots, elle se jette sur moi comme un chien fou et j’ai à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans mon fourreau.
Elle me baise avec fougue sur un rythme effréné.
Très vite ses gémissements m’annoncent l’imminence de son orgasme.
Je me presse contre elle et croise mes jambes dans son dos pour l’immobiliser.
- Jouis maintenant ma chérie, lui dis-je à l’oreille en lui enfonçant mon majeur dans l’anus.
Le corps en arc de cercle, elle reste tétanisée un instant.
Puis, elle explose par saccades en m’inondant de la sève de ses vingt ans qu’elle n’en finit plus de déverser dans mes reins.
Mes doigts pressent son périnée et sa queue pour faire sortir ses dernières giclées de sperme.
Après l’avoir vider, je la retourne sur le dos en lui écartant les fesses.
En forçant son passage, je me rends compte qu’elle est pratiquement vierge.
A l’évocation de cette pensée et ayant ma queue fortement serrée dans son fourreau, je ne tarde pas à exploser en elle.
Lorsque je me retire, elle éponge de son mieux le flot de sperme qui sort de ses fesses et coule le long de ses cuisses.
Je la câline un moment avant de lui demander à regret de me quitter.
A peine rhabillée, je vois entrer Claudia, une superbe rousse transsexuelle.
Elle porte un corset et des cuissardes de couleur rouge et noir qui m’indiquent clairement ses penchants de dominatrice.
Je rentre immédiatement dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses comme pour me protéger.
- N’aie pas peur de moi ma belle, me dit-t-elle en sortant une queue massive de son slip brésilien.
Je remarque que son gland est épais et qu’il va me donner plus de plaisir.
Sans perdre de temps, Claudia me trousse sans vergogne en glissant une main assurée sous ma jupe.
Je serre mes cuisses pour ralentir sa progression.
Ma résistance l’excite et elle devient plus entreprenante.
Quelques instants plus tard, ses caresses me déclenchent une érection spectaculaire.
Je finis par craquer en laissant sa main se glisser dans la fente de mon slip.
Surprise par la taille de mon clito, elle me dit :
- On dirait que je te fais de l’effet ma chérie.
C’est vrai qu’elle m’a tellement excitée que je n’arrive plus à lui résister.
Elle s’en rend compte et me dit d’une voix autoritaire.
- Maintenant allonge toi sur le ventre et donne moi tes fesses.
Ses doigts inquisiteurs se glissent dans mon sillon en s’immobilisant sur ma corolle en latex.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
- Je t’en prie, laisse moi le garder, c’est un préservatif spécial que j’ai mis pour amplifier ton plaisir, lui dis-je en l’implorant du regard.
La voyant hésiter, je la masturbe d’une main experte pour la faire fléchir.
- Je veux bien essayer me répond-t-elle finalement.
Elle se met entre mes cuisses et je cambre les reins lorsque son gland turgescent se presse contre ma rosette.
- Pousses dés que je commence à t’enfiler ma chérie, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Je l’aide de mon mieux en sentant mon anneau résister à la pression.
Claudia insiste et mes sphincters finissent par s’ouvrir sous la violence de l’assaut en laissant son dard s’engouffrer d’un coup dans mes reins.
Après une brève douleur, j’éprouve beaucoup plaisir à sentir cette queue me fouiller le ventre.
Mon désir monte crescendo lorsque j’entends le claquement de son bassin sur mes fesses et s’amplifie quand je sens ses bourses me fouetter le périnée à chaque va et vient.
C’est pourtant Claudia qui jouit la première en déversant de puissantes giclées de foutre dans mes fesses.
Je l’entends gémir de plaisir lorsque je contracte mes muscles intimes sur sa queue pour finir de la vider.
Puis, elle se rhabille et sort de ma chambre sans dire un mot en me laissant dans un état d’excitation intense.
Heureusement, deux ensorcelantes brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi.
Elles ont un visage avenant, la taille fine et des cuisses fuselées.
Fascinées par mon sexe en érection, elles m’expliquent qu’elles sont venues au club pour réaliser leur fantasme qui est de me faire l’amour toutes les deux en même temps.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition en les masturbant jusqu’à ce que leurs clitos atteignent une taille respectable.
- Allonge toi sur le lit, dis-je à Natacha.
Lui tournant le dos, je m’accroupis sur son ventre en m’empalant lentement sur son sexe.
Puis, je m’allonge sur elle en ouvrant les cuisses pour inviter Sabrina à venir me baiser à son tour.
- Je t’attends ma chérie, lui dis-je d’un regard provocant.
Figée par ce spectacle, elle ne peut détacher ses yeux du sexe de son amie qui va et vient en moi.
Elle finit par m’embrocher lentement en se frayant un passage dans mes reins.
Très souple, elle se penche pour me gratifier d’une fellation d’enfer pendant qu’elle continue à m’empaler en duo avec Natacha.
Doublement sodomisée et pompée, je sens ma sève monter irrésistiblement dans mes reins et je décharge dans sa bouche en gémissant de plaisir.
Enfin calmée, je décide de m’occuper de Natacha.
- Tu vas jouir la première, lui dis-je d’une voix chaude.
Attentive, je suis sur son visage la montée de son orgasme en me trémoussant de plus belle sur sa queue.
Le moment venu, je l’achève en déclenchant de lentes et puissantes bascules du bassin qui la font défaillir.
Tremblant de la tête au pied, je l’entends crier de plaisir lorsqu’elle explose dans mes reins dans une succession de spasmes.
Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina poursuit ses va et vient en voyant la sève de Natacha couler à l’intérieur de mes cuisses.
Très excitée, elle place alors mes jambes sur ses épaules en m’empalant jusqu’à la racine de son sexe.
Elle ne peut s’empêcher de sourire quand elle voit mes jambes gainées de nylon battre l’air de manière anarchique et témoigner ainsi du plaisir qu’elle me donne.
Reprenant mes esprits, je l’attire vers moi et éperonne sa croupe avec mes talons aiguilles pour l’encourager à me pilonner.
Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux dévorer son sexe.
Saisissant un gode de dessous l’oreiller, je le vrille sournoisement dans ses reins en le tournant de droite à gauche pour l’enfoncer plus vite.
Surprise, elle se redresse pour tenter d’échapper à ce dard mais, je l’empale de plus belle en la faisant exploser dans une succession de spasmes.
Elle se retire de ma grotte en laissant échapper une coulée de sève qui dessine des arabesques blanchâtres sur mes bas.
Avant de me lever, je m’enfonce un plug dans l’œillet pour garder la semence que j’ai en moi.
Puis, je raccompagne Sabrina et Natacha à la porte en fixant la date de notre prochaine rencontre.
Restée seule, j’agrafe rapidement ma jupe sur mes hanches pour aller rejoindre Mirella qui m’attend chez elle.
C’est une transsexuelle de la Jamaïque arrivée depuis deux ans à Paris que je rencontre régulièrement.
Elle m’ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la couleur de sa peau.
Je ne résiste pas à l’envie de palper ses seins qui sont magnifiques.
M’invitant à m’asseoir prés d’elle, elle me caresse les cuisses en relevant mes dessous.
Soudain, son doigt inquisiteur se pose sur la tâche blanchâtre qui macule mon bas.
Soupçonneuse, elle remonte sa main sous ma jupe et découvre la présence de mon préservatif.
- Suis moi que je t’examine de plus prés, me dit-t-elle en faisant tomber mes vêtements à mes pieds.
Ses yeux s’attardent sur ma lingerie quand je m’allonge sur la table d’examen.
- Je te trouve craquante ma chérie, me dit-t-elle avec une lueur de perversité dans le regard.
Après m’avoir fixé les pieds dans les étriers, elle prend place entre mes cuisses pour m’enlever le plug et ma protection féminine.
- Je vois que tu ne t’aies pas ennuyée, siffle-t-elle en agitant le latex devant mes yeux.
- Il contient encore au moins 20cl de sperme rajoute-t-elle scandalisée.
Je sourie en pensant que certaines fois je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es aussi chaude, je vais m’amuser avec toi, ajoute-t-elle d’un air équivoque.
Après m’avoir lubrifié abondamment l’anneau, elle plonge trois doigts dans mes fesses pour me faire bander.
Elle les fait coulisser un long moment dans ma grotte sur des rythmes lents et rapides en me masturbant.
Puis, quand elle me voit bien excitée, elle m’aide à me lever et m’entraîne dans la pièce voisine.
Je découvre alors un étrange objet ayant l’apparence d’un cheval d’arçons.
- Mets toi en selle, me dit-t-elle avec un sourire narquois.
Elle règle sa hauteur pour que j’aie les jambes bien tendues et bloque mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Lorsque je suis totalement immobilisée, elle appuie sur le bouton d’une télé commande qui déclenche l’ouverture d’une trappe sous moi.
- Tu as un plug en métal de vingt cinq centimètres placé sous tes fesses ma chérie, me dit-t-elle suavement.
- Il va t’empaler lentement et t’ouvrir progressivement à un diamètre de sept centimètres.
Mirella appuie sur une autre touche et le plug commence à s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans mes fesses.
Ma rosette se contracte au contact de ce cylindre d’acier qui s’engage dans mon fourreau.
- Détends toi ma belle, me dit Mirella en me masturbant d’une main experte.
Ses caresses irrésistibles lèvent mes dernières craintes et je me laisse embrocher sans résistance.
Mes chairs s’écartent lentement sous la poussée du pal en me faisant découvrir des sensations plutôt agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter redouble mon excitation.
La pression devient de plus en plus forte et je découvre un plaisir étrange mêlé de douleur.
J’ai la respiration coupée en ayant l’impression d’être ouverte en deux.
Vingt minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en voyant avec surprise ma queue dressée prête à exploser.
- J’ai incliné le plug vers l’avant pour qu’il appuie sur ton point G, m’explique Mirella.
- C’est pour cela que tu bandes magnifiquement, rajoute-t-elle en souriant.
- Te voilà bien ouverte et ton anneau a maintenant le diamètre d’une bouteille, me dit-t-elle avec une lueur trouble dans le regard.
Cette comparaison me surprend et j’ai du mal à la croire.
- Tu as le droit à une petite gâterie, ma chérie.
Elle me lèche la queue pendant que l’engin plongé dans mes reins se met à vibrer intensément.
Je craque lorsqu’elle fait glisser lentement son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Contracte tes muscles intimes sur le plug, me chuchote-t-elle à l’oreille en voyant les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland.
Je gémis doucement lorsqu’une coulée de sève épaisse et continue sort lentement de ma verge en se déversant dans sa gorge.
Cette longue éjaculation me donne un bonheur sans égal.
Complètement sonnée, je contemple le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe et que Mirella recueille sur sa langue.
Un moment plus tard, elle me détache en me faisant passer une séduisante combinaison en satin rouge et noire par-dessus ma guêpière.
- Va m’attendre dans la chambre pendant que je me prépare.
Je me dirige vers son lit, troublée de sentir la tension de mes bas quand je marche et d’entendre le crissement du nylon sur mes cuisses.
Mirella me rejoint rapidement.
En plus de son déshabillé, elle porte à la taille un impressionnant gode ceinture.
Je m’aperçois avec surprise que son sexe est à l’intérieur.
- J’espère que ce jouet te comblera ma chérie, me dit-t-elle en le tenant à deux mains.
Il a des dimensions comparables au plug et je comprends mieux la raison de mon initiation précédente.
Elle s’allonge prés de moi et m’embrasse à pleine bouche en plaquant ses seins contre ma poitrine.
Puis, me mettant sur le dos, elle place deux cousins sous ma croupe pour me mettre à la hauteur du pal qui se balance lourdement entre ses cuisses.
- Maintenant remonte ta combinaison ma chérie.
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches en dévoilant mes bas et mes jarretelles tendus à craquer.
Elle m’écarte les cuisses en contemplant ma rosette qui s’ouvre comme une fleur.
Je contrôle mal mon émotion et ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert.
Mirella ne se laisse pas distraire et m’enfonce son majeur dans les fesses en le recourbant vers le haut pour me masser la prostate.
Elle regarde fascinée mes sphincters se contracter sur son doigt qui lui montrent que je ne reste pas insensible à ses caresses.
Elle me masturbe en même temps d’une main experte pour m’étourdir de plaisir.
- Je crois que tu es suffisamment ouverte ma chérie, me dit-t-elle en glissant son énorme dard entre les cuisses.
Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle l’engage par petites pressions successives.
- Tu vas prendre une queue de sept cent grammes dans les fesses, me dit-t-elle d’un air prometteur.
Puis, elle la plonge dans mon oeillet en me regardant droit dans les yeux.
Haletante, la poitrine palpitante, je sens le pieu s’engouffrer dans mes reins malmenés.
Mirella utilise le poids de son corps et presse sur mes hanches d’une manière forte et continue pour m’empaler littéralement sur le gode.
Soudée à moi, elle se tortille avec une habilité diabolique.
Elle pilonne avec précision ma glande d’amour qui proteste en faisant gicler quelques gouttes de sève sur ses bas.
Je ne suis plus qu’un pantin entre ses mains dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, ne pouvant plus retenir la coulée de lave qui monte en moi, j’explose en inondant ma guêpière d’un flot de sperme.
Mirella se lève pour détacher son gode ceinture et réajuster ses jarretelles en me jetant un regard enflammé.
Puis, elle se masturbe avec un érotisme torride en me rejoignant sur le lit.
Décidée à la surprendre à mon tour, je l’allonge sur le dos en lui enfonçant mon orteil dans les fesses.
Je décalotte ensuite son gland en le frottant longuement contre le nylon de mes bas.
Elle tremble de désir lorsque lui faisant face, je m’assois à califourchon sur sa queue tout en poussant une à une des boules anales dans ses fesses.
Sa respiration devient haletante quand je bascule mon bassin d’avant en arrière en tournant lentement ma croupe sur son pivot de chair.
Je contracte alors mes muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme en me trémoussant sur sa queue jusqu’à ce qu’elle succombe à mon massage fessier.
Quand elle explose en moi agitée de nombreux spasmes, je tire sur le fil qui pend entre ses cuisses en sortant d’un coup les boules anales de son fourreau.
Elle pousse un cri rauque et a un dernier soubresaut avant de s’immobiliser.
Epuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.
Envoyez moi vos suggestions à : sandratvtg@yahoo.fr
Par LEQCBON93
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Publié dans : Récits
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