CA PLAIRA PAS à TOUT LE MONDE

 
Certains récits ne font pas mention du condom. N'oubliez pas que ceux-ci sont essentiels pour une relation sexuelle sécuritaire... Dans votre lit, vous n'êtes pas dans un récit! Protégez-vous!!!
Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info : www.sida-info-service.org



La soirée était déjà bien entamée. Je roule en direction du bois de Vincennes. La clim marche à fond. Dehors il fait chaud. Je me réjouis d'arriver. Je tourne à gauche , je ralenti, je vois une voiture arrêtée. Personne dedans. Je vais un peu plus loin. A droite il y a une allée ou se trouvent des bagnoles. Je vais là. Je stationne ma caisse, je sors. J'ôte mon pull, je baisse mon froque et j'enlève mon slip. Je suis entièrement nu dans la nature.
   

Je marche en basquettes. Je me dirige vers le bois. Je longe une allée déserte. J'entends des gémissement de gorges de mâles. Y en a qui baisent dans le coin. Pas de couinement de femelle. Je suis au bon endroit. la lune éclaire mon corps musclé et cette lumière donne du volume a cette masse de viande  que je travaille deux heures par jours sous la fonte dans mon club. Putain je vois personne.

J'entends toujours des grognements. Soudain une main frôle mon cul ; je continue à marcher ; une deuxième main me frôle le bras et tâte mon biceps gauche au repos. Là, j'ai a faire a un connaisseur, à un garçon qui sait apprécier le corps masculin et qui se jette pas sur ma queue comme un morfale.


J'aime être admiré, caressé, léché, sucé, bouffé. Je m'arrête et j'écarte mes cuisses. La main descends sur mes abdos et masse mon pubis rasé. Je sens ma pine qui est remplie de désir. Elle se dresse lentement mais irrésistiblement sous l'effet de ces caresses douces mais fermes. Maintenant je vois des silhouettes qui s'approchent.
Y en a deux qui sont particulièrement bien foutu.


190 cm au moins et larges d'épaules, grosses cuisses en acier galbées, pecs comme des dalles de béton et des biceps qui roulent sous la peau luisante de sueur. Je m'offre comme une salope en chaleur, je me laisse faire, une langue entre dans ma bouche, une autre me fouilles l'anus.
   

Des mains me branlent et me tirent sur les burnes, j'aime cette douleur. Putain je vais y passer. Deux doigts forcent l'entrée de mon trou du cul. Je mouille du cul comme une chienne. Je me penche en avant, j'offre mon trou de balle a ces inconnus qui méritent bien la saveur de mes tripes.


Ces mecs sont pas des lopettes effarouchées, il faut avoir du courage pour venir traîner ici, sachant que les cognes font des rafles de temps en temps.


Une pine est entrée en moi par derrière, ça me lime les intestins . J'aime ça une bonne teub en moi. La première que je me suis prise, j'avais 16 ans, c'était mon cousin. Il m'a enculé de force, j'en avais pleuré de douleur, mais le lendemain je lui avais demandé de le refaire. Je suis un mec à mecs. Pas de blême. Ça ne se voit pas en plus.


Des langues me passent sous les deux bras, c'est super comme impression. je suis rempli de bave. Je sais même pas combien y a des mecs qui s'affaire sur moi. La queue me ramone toujours le fion. J'ai une pine dans la bouche maintenant, elle est grosse et longue et il me l'enfonce au fond de ma gorge, ça me donne des haut le coeur.
j'aime cette impression d'être au bord du vomissement en ayant une bonne grosse pine dans la bouche. je masse les épaules du mec qui me suce.

Putain il est vraiment balaise. Soudain il lève son visage et je reconnais un pote d'entraînement. Merde ! je savais pas qu'il est pd lui ! si j'avais su on aurait baisé depuis longtemps.
   
Il ôte ma queue de sa bouche et dit :
"hello Pascal , belle soirée hein ,"
je souris et dis :
"t'as raison Ali, belle soirée pour de belles rencontres"


Il remet ma bite dans sa bouche et m'aspire comme un fou, il espère mon jus, mais je me retiens. je veux que ça dur longtemps, j'aime la baise a plusieurs mecs dans les bois. Ali se relève et me prends la tête avec ses deux mains, l'attire a lui , sa bouche est ouverte et il la pose sur la mienne.


Je sens sa langue épaisse de salope de rebeu qui entre dans ma salope de bouche de pute de mec. Il me roule un patin et ses lèvres charnues sont bonnes et on mélange nos salives, on se bave dessus et on se malaxe les couilles et on grogne de plaisir comme des fauves en rut.


Je suis vraiment un enragé de la queue. mais putain que c'est bon de faire ça avec des vrais mâles. des durs de durs. Des costos bardés de muscles saillants. j'aime ces corps à corps puissants. J'aime cette pine d'ours qui est collée contre ma cuisse.
J'aime cette autre pine qui cherche l'entrée de mon fion ourlé comme la chatte d'une meuf.
J'aime les hommes.
J'aime le contact viril des mecs nus avec leur sexe trugessant qui me cognent le fond du cul ou de la tête.
   

Pinez moi le mecs, enfoncez vos queues dans mes trous ! je suis une salope de pd.
Je veux des pine raides en moi, enculez moi a fond sans ménagements.
Pinez mon cul.
Foutez moi vos mains au fond et massez ma prostate de pute.
 Je jouis, je jouis du cul et de la queue .

Du jus sort de moi, un jus que je prends dans ma main et que je porte à ma bouche.
Je veux mon jus. Je bois mon sperme.


Tous les mecs ont bien jouis j'ai du foutre partout, j'embrasse Ali sur la joue et dis :
" à demain au gym"
il sourit et dit :
"au revoir mon amour"
j'aime cette montagne de barbake.
J'aime ce putain de beau mec.
Si vous le voyez dans la rue, vous ne penseriez jamais que c'est un suceur de queue.
Putain qu'il est beau.