CA PLAIRA PAS à TOUT LE MONDE
Cherche homme de ménage
Je vis en couple avec une femme à laquelle je suis fidèle en tous points sauf un : la fessée. Elle ne partage pas mon goût pour cette pratique. Point final. C’est donc avec son accord que je m’échappe de la maison de temps en temps pour assouvir ce fantasme. La seule condition que j’ai toujours respectée est de ne pas la tromper. Préférant être fessé par un homme, chose que je me suis bien gardé de lui dire, je risquais d’autant moins de manquer à ma parole. Enfin, jusqu’au jour où …
En parcourant un site web gay où je rode parfois pour essayer de trouver un adepte partageant mes goûts, je suis tombé sur ceci :
« Cherche homme de ménage pour entretien grande maison. Attends un travail réel et soigné. Barème de punitions et de rémunération à établir »
Le texte de la petite annonce était plutôt prometteur.
Après un premier dialogue très chaste sur le site, je fis plus ample connaissance avec mon futur ‘employeur’ via MSN. Rapidement, il est évident que nous semblions avec les mêmes goûts pour les mêmes jeux. Ce monsieur d’une cinquantaine d’années (j’en ai 28) m’a rapidement proposé de m’inviter à dîner. Je fus un peu surpris par une offre si directe mais l’échange de photos étant satisfaisant, j’ai accepté.
Il me reçoit dans sa maison, un peu retirée de la ville. A vue de nez, 300 m² repartis sur deux étages, un parc de bonne taille et une piscine. En bref, la maison d’un homme qui a réussi dans la vie.
Quand il m’ouvre la porte, je suis rassuré : il est bel et bien tel que sur la photo. Environ 1m95, soit une bonne tête de plus que moi, les cheveux et une barbe courte, poivre et sel. Des mains immenses mais belles et puissantes que je remarque tout de suite lorsque nous nous saluons. Il porte un costume sans cravate. L'absence de trace d’embonpoint et la largeur de ses épaules laissent deviner qu’il prend soin de lui en faisant régulièrement du sport.
A l’apéritif, nous nous racontons un peu nos vies. Il est veuf et vit seul. Ses deux fils vivent à l’étranger et ne viennent qu’une fois par an. Il cherche à faire d’une pierre deux coups : un piment pour son quotidien et une aide sérieuse pour entretenir une maison devenue trop grande. Il insiste lourdement sur ce point : il est très attaché à ce que, sur la forme, la relation employeur-employé soit clairement établie. Etant donné que je serai rémunéré, il attend de moi que le travail soit fait et bien fait. L’amusement viendra en plus. Je constate ainsi avec plaisir que nous pratiquons notre jeu favori de la même manière : on en parle beaucoup au début mais une fois qu’on est lancé, on joue à fond.
Nous nous étions mis d’accord sur un pseudo-salaire (bien que nous ne soyons pas là pour ça, cela fait partie du jeu) et les horaires de nos rencontres lors de nos dialogues sur le Net. J’attendais poliment la fin du dîner pour lui demander son avis sur ma ‘candidature’ (il m’a avoué que son annonce avait eu beaucoup de succès) quand il prit les devants :
- Alors, toujours partant ? On fait un essai ce soir ?
- Bien sûr ! Avec plaisir ! répondis-je, soulagé
- Que dirais-tu de débarrasser la table et de faire la vaisselle ?
- Pas de problème, allez vous détendre dans le salon, je m’occupe de tout !
- Bon, comme on commence tout de suite, on peut mettre en place ce dont on avait convenu ?
- Euh … C'est-à-dire ?
- J’aimerais que tu termines tes phrases par ‘Monsieur’
- Ah oui ! J’avais oublié. Désolé Monsieur.
Un échange de sourire complice et voilà, c’est parti ! De toutes façons, j’ai eu le temps d’y réfléchir et le moment passé avec lui autour du repas me donne vraiment envie de découvrir la suite. J’ai croisé beaucoup de gays pour qui la fessée n’est qu’un petit panpanculcul érotique pour passer ensuite au sexe ‘classique’. J’espérais avoir enfin trouvé la perle rare. Il me restait encore à lever un doute : nous nous étions échangés nos certificats VIH négatifs car pour lui, les jeux de fessées pouvaient rapidement déraper et il convenait d’être prudent. Reste à savoir quelle partition serait jouée …
Je me lève donc et entreprend de débarrasser la table pendant qu’il va s’installer devant la télévision.
Une quinzaine de minutes plus tard, il revient. J’en suis encore à faire des allers-retours dans cette maison décidemment immense (j’étais loin de la vérité avec mes 150 m² par étage). La cuisine est à l’autre bout d’un couloir interminable et je sens bien qu’il s’impatiente.
- Pas encore terminé ? Dis-moi, tu es toujours aussi lent ?
Son ton a changé, il est semble très sérieux. Je me pose même la question si c’est un très bon acteur ou s’il y croit vraiment …
- Non Monsieur, c’est simplement que la maison est très grande
- Oui, et il va falloir t’y faire si tu veux cette place. Accélères un peu, veux-tu ?
- Bien Monsieur.
Immanquablement, je confonds vitesse et précipitation. J’échappe un verre de vin rouge à moitié plein sur le tapis du salon ! Même si le bruit est faible, il est debout près de moi dans la seconde (si moi je ne l’ai vraiment pas fait exprès, je le soupçonne très fortement de guetter ma première faute pour me tester).
- Bon, voilà qui met fin à ton essai mon garçon.
- Je suis désolé. Je ne l’ai pas fait exprès
- Il ne manquerait plus que ça !
- Je vais nettoyer, ne vous en faîtes pas
- Oui, je sais que tu vas nettoyer. Tu devrais même déjà être en train de le faire.
Je fonce dans la cuisine pour aller chercher le nécessaire et je me mets à l’œuvre. A peine un quart d’heure que l’on a commencé et je suis déjà à quatre pattes devant lui en train de frotter le tapis du salon. Quel début !
Coup de chance, la tache part entièrement. Je suis plutôt satisfait. Lui continue sur le registre de la colère.
- Bon, et bien maintenant tu peux partir.
- Mais, j’ai enlevé la tache.
Il approche de moi à grands pas, s’arrête juste devant moi. Il me domine de son mètre quatre vingt quinze.
- Je t’ai déjà dit de m’appeler Monsieur. Ca aussi c’est trop compliqué pour toi ?
Son regard noir me fait bafouiller un ‘Non Monsieur’ des plus pitoyables.
- Tu crois que j’ai du temps à perdre à former un domestique ? J’ai l’embarras du choix, figures-toi. Je n’ai qu’à décrocher mon téléphone pour qu’un autre te remplace dès demain, tu comprends ?
- Oui, Monsieur
- Mais bon, je t’ai dit que je te donnais ta chance ce soir. Je vais aller au bout de l’idée. Si à la fin de la soirée, je ne vois aucun signe d’amélioration, tu vires ! Compris ?
- Oui Monsieur. Je vais m’appliquer je vous le promets. J’ai vraiment besoin de cet emploi, ajoutais-je pour lui donner le change
- Si c’est vraiment le cas, alors tu me remercieras après avoir reçu ta punition. Va dans l’entrée et rapporte-moi ce que tu trouveras dans le premier tiroir de la commode.
Hou la la ! Ca démarre fort ! Il est très doué pour créer de suite une ambiance très propice à la fessée punitive et j’adore ça. Je vais dans l’entrée en courant, pour lui faire plaisir mais surtout pour échapper enfin à son regard qui me fiche quand même un peu la frousse. Je sais que nous avions convenu d’un mot de passe pour arrêter le jeu mais j’ai encore l’appréhension de la première fois avec lui.
Ce que je trouve dans le tiroir n’est qu’une demi-surprise et je reviens vers lui, un martinet en cuir à la main. C'est un modèle ancien, genre anglais période victorienne, avec une dizaine de grosses lanières carrées en cuir noir. Son manche est lourd. Pour moi qui suis habitué aux modèles achetés à la sauvette au rayon animalerie des supermarchés, il a l’air terrifiant.
- Penche-toi sur la table, jambes serrées et tendues. Les mains sur la tête.
Je m’exécute maladroitement et il corrige ma position. Il se met sur le côté et je reçois alors une dizaine de coups rapides qui me chauffent instantanément les fesses.
- Qu’est-ce qu’on dit ?
- Merci
L’oubli du Monsieur rituel (je n’arrive pas encore à m’habituer mais je crois qu’il va m’apprendre) !
Une autre dizaine de coups. Je croyais que les premiers étaient forts, j’ai eu tort : j’ai déjà le derrière qui chauffe ! Même à travers le jean !
- Qu’est-ce qu’on dit ?
- Merci Monsieur
- C’est mieux. Allez, au travail maintenant. Et je te préviens, j’ai le martinet à portée de main. A la prochaine bêtise, il viendra caresser tes fesses nues, compris ?
- Oui, Monsieur
La suite se passe plutôt bien et je réussis à allier la vitesse et la qualité. Enfin, c'est ce que je crois. Il vient dans la cuisine inspecter la vaisselle que je viens de terminer et trouve de nombreuses traces. Furieux, il me prend par l'oreille et me conduit manu militari dans le salon. Il tire tellement fort que je ne sais toujours pas aujourd’hui si mes pieds ont touché le sol durant le voyage. Dans le même geste, il prend une chaise, s'assoit et me courbe sur ses genoux. Je reçois une pluie de claques sur les fesses et, malgré la protection de mon jean, les larmes me montent aux yeux. La fessée continue, de plus en plus fort, et ses mains de bucheron ont un effet dévastateur.
- Allez, redresses-toi.
Je me lève et porte tout de suite par réflexe mes mains sur mes fesses. Il sourit franchement quand je le remercie comme je pense qu’il aimerait que je le fasse. Son sourire un peu carnassier prend aussi surement sa source dans le début de larmes qui fait briller mes yeux.
- Mais ce n’est pas fini, qu’est-ce que tu crois ? Maintenant que tu pleurniches comme une fillette, je vais pouvoir te donner ta vraie fessée. Et pour me montrer que tu sais être obéissant et acceptes mon éducation, tu vas toi-même baisser ton jean et ton caleçon et venir te remettre en position.
Comme il voit que j’hésite, il ajoute :
- Plus tu me feras attendre et plus ta fessée sera sévère !
J’obéis à ses ordres et, honteux comme jamais, je m’allonge en travers de ses genoux. Il me repositionne à sa guise et recommence de suite à me donner de grandes claques sur les fesses et le haut des cuisses. J’ai beau me tortiller mais rien n’y fait. Il passe un temps sa jambe par-dessus les miennes pour me maintenir plus fermement mais se ravise en me remettant à plat sur ses genoux, pensant à juste titre que la fessée n’en sera que plus douloureuse.
Quand il s’arrête et me fais me redresser, je me surprends moi-même à pleurer à chaudes larmes. Adepte des fessées dites ‘punitives’, c’est un moment que j’attendais depuis très longtemps et lui a réussi à me l’apporter dès notre première rencontre. Mon érection trahit mon excitation et le pousse à aller plus loin :
- Allez, la suite !
Je ne comprends pas. Que veux-t-il encore ?
- Le martinet ! Allez, dépêches-toi un peu ! Tu as encore du travail.
Mes supplications (à peine jouées) n'y feront rien, il restera intraitable. Je vais cherche le martinet en pleurant, les jambes empêtrées dans mon pantalon et en frottant mes fesses qui cuisent littéralement. Il se met debout près de moi, me courbe sous son bras et fait tomber plusieurs fois le martinet. Je trépigne comme je peux, me débat mais il est plus grand et plus fort que moi, mes efforts pour m'échapper sont vains. Une fois qu'il est satisfait de la couleur de mes fesses, il me redresse et m’ordonne :
- Allez, au piquet ! Et enlèves tout sauf ton polo. Tu resteras cul nu pour le reste de la soirée. Je sens que je vais avoir du travail avec toi et on va gagner du temps si tes fesses sont toujours à portée.
Au bout d'une dizaine de minutes, il me libère :
- Tu peux retourner travailler. Va refaire la vaisselle, tu as 10 minutes.
Lorsque je passe devant lui, la claque sur les fesses que je reçois me rappelle, si besoin était, qu’il a la main lourde.
La fin de la soirée approche. Bilan ? La vaisselle est très propre et bien rangée. La table de la salle à manger est impeccable, tout comme le tapis du salon. En bref, mon ‘patron’ semble satisfait. De mon côté, j’ai profité d’un petit instant de répit pour inspecter mes fesses dans le miroir du couloir : elles sont très rouges mais moins que je croyais. Par contre, le martinet laisse de vilaines boursouflures qui mettront du temps à disparaitre.
Mais cela en valait la peine car je repars, non seulement avec une érection douloureuse d’avoir duré presque toute la soirée, mais aussi avec le droit de revenir.
Deux autres séances un peu identiques et les choses vont évoluer rapidement. A ma quatrième venue, il prend le prétexte que les carreaux du salon sont sales (il a plu dans la journée) pour de me menacer d’arrêter le ‘contrat’. Mais cette fois, pas de fessée à l’horizon. Les choses ont l’air plus sérieuses. Il semble furieux et me refait le coup du regard noir. Il aurait tort de s’en priver, cela marche à merveille !
- Je commence vraiment à en avoir assez. Tu fais tout de travers. Je ne vais jamais y arriver avec toi ! Je me demande carrément si tu veux réellement ce travail ?
- Oui Monsieur, je veux vraiment ce travail ! Je suis désolé pour les vitres mais c’est la pluie !
- Des excuses, toujours des excuses ! Tu ne te rends pas compte de la chance que tu as ? Je t’offre un bon travail, bien payé et pas compliqué. Je prends même du temps, beaucoup de temps, à t’éduquer et voilà comment tu me remercies ! D’autres seraient prêts à me supplier à genoux pour cet emploi !
C’est bon, j’ai compris. Je le vois venir. Il veut que je le supplie vraiment. Entre son regard qui me fait trembler et mon envie sincère de rester, il ne me reste plus qu’à le satisfaire. Je me mets donc à genoux devant lui, je joins les mains et les yeux dans les yeux, le supplie :
- S’il vous plait Monsieur. Je vous en prie, gardez-moi à votre service.
- Et pourquoi est-ce je devrais te garder, tu n’es qu’un bon à rien !
- Je vais m’appliquer encore plus Monsieur, je vous le promets. Je vais être encore plus obéissant.
- Tu me saoules avec tes paroles et tes promesses. Au lieu de parler, tu ferais mieux de me montrer comment un bon domestique doit calmer les nerfs de son patron !
Là aussi, je compris vite là où il voulait en venir. Et j’avoue que cette idée me trottait dans la tête depuis un petit moment : quand allait-il me tester à ce sujet ? La réponse est ‘maintenant’ ! Nous avions fait la liste de ce que nous aimions, pour l’avoir déjà fait ou simplement eu l’envie d’essayer. C’est très facile de cocher des cases sur une feuille, un peu moins de se lancer à l’eau pour passer à l’acte. Je n’avais pratiqué la fellation qu’une seule fois, avec un fesseur particulièrement doué qui me l’avait gentiment demandé. Sans y avoir pris de réel plaisir, j’avoue que je n’ai pas détesté. Quant à la sodomie, à part un doigt féminin de temps en temps, je suis vierge. Seulement voilà, lors de nos échanges préliminaires, j’ai vite senti que j’avais affaire à un fesseur amoureux de son Art et, le voyant un peu insister sur ce sujet, j’ai préféré indiquer que j’aimerais bien essayer. Histoire de laisser la porte ouverte, de ne pas le perdre avant d’avoir passé un moment en travers de ses genoux. Les séances passées m’ont non seulement donné confiance en lui mais j’avoue qu’il m’a offert tellement de plaisir par la qualité de ses jeux que j’ai vraiment envie de lui rendre la pareille. C’est donc toujours à genoux que je m’approche vers lui et tend maladroitement mes mains vers sa boucle de ceinture. Il me cueille à froid avec une grande gifle :
- On ne t’a jamais appris à demander la permission ?
En me frottant la joue, je tente :
- S’il vous plait, est-ce que je peux vous sucer Monsieur ?
- C’est bien, tu apprends vite. Vas-y et appliques toi, c’est ta dernière chance !
Nouvel essai et nouvelle gifle !
- Mets toi nu ! Tu dois toujours être nu et à genoux quand tu voudras te faire pardonner !
Il est là, debout devant moi, les mains sur les hanches et il attend. Je déboucle sa ceinture et baisse sa braguette, sort son sexe de son slip et commence à le lécher doucement. Quand il est dur, je le prends dans ma bouche et le suce plus goulument, sans oublier de caresser ses couilles velues. Il ajoute à ma gêne apparente :
- Regardes moi dans les yeux quand tu t’occupes de moi
Son sexe est beaucoup plus gros et plus long que le mien. Je n’arrive pas à le pomper comme je voudrais et, comme je pense, il aimerait. J’espère compenser en lui léchant souvent les couilles.
- Mouais, c’est pas mal. Mais arrête toi un instant, je veux vérifier quelque chose.
Il va vers la table basse du salon et retire du tiroir un petit plug anal.
- On m’a toujours dit que les garçons dans ton genre suçaient mieux quand ils se faisaient sodomiser en même temps. Alors tu vas sucer un peu ça, histoire de le lubrifier et on va vérifier tout de suite. Et pour ma part, ayant déjà expérimenté que les domestiques suçaient mieux les fesses en feu, tu sais ce qui t’attends …
Il me tend le plug devant le visage et je m’applique à le sucer en y laissant le maximum de salive, étant donné la suite qu’il compte donner à ce préliminaire.
- C’est bon, ça suffit ! Lèves-toi !
Il me courbe sous son bras et m’introduit l’objet sans ménagement. Le petit cri de douleur que je pousse le fait sourire :
- Ah oui, c’est vrai, j’oubliais que tu es vierge ! Allez, viens sur mes genoux que je m’occupe un peu de la couleur de tes fesses.
Après une bonne fessée bien cuisante dont chaque coup résonnait au plus profond de moi par le plug interposé, il me fait lever mais reste assis dans le canapé :
- Allez, au travail !
Je me mets à quatre pattes entre ses jambes et je le reprends en bouche. Il est resté très dur et c’est vrai que l’effet combiné de la fessée et du plug semble fonctionner. Je suis très mais alors ce qui s’appelle très appliqué ! Je ne peux pas le regarder dans les yeux mais je sens que lui n’en perds pas une miette :
- Oui, c’est beaucoup mieux en effet, c’est bien, continues comme ça. Et tortilles un peu des fesses aussi ! Elles sont bien rouges tu sais ! Prends ton temps, va doucement, j’aime quand ça dure !
Après plusieurs minutes des caresses, il semble à point. Il se redresse un peu et repousse ma tête de son sexe :
- Ca va, tu suces correctement au moins. Maintenant, il s’agit de savoir si tu comptes aller jusqu’au bout …
- Oui Monsieur
- Tu ne sais pas faire de phrase ?
Que dire ?
- Commences par « Est-ce que je peux être votre vide-couilles Monsieur ? »
Je répète poliment.
- Mieux que ça ! Et tortilles des fesses en disant ça, si tu veux que je te crois sincère !
Je m’applique et il accepte :
- Et bien c'est parfait ! Dorénavant, tu seras, en plus de mon domestique, mon vide-couille ! Reste à savoir si tu saurais faire ...
Il se remet debout et, en me tirant par une oreille, me remets à genoux puis me fait asseoir sur mes talons.
- Mets tes mains derrière le dos, ouvre la bouche en grand et ferme les yeux. Il faudra t’habituer à cette position. Tu devras la prendre dès que je te ferai savoir que j'en envie de me soulager.
Il prend ma tête à deux mains et m’enfonce son sexe brutalement dans la bouche. Après m’avoir ordonné de bien serrer les lèvres, il commence alors de brusques va et vient. Il jouit alors longuement et ses râles de plaisir sont là pour attester qu’il aime beaucoup cela. Il se retire et ajoute :
- Et bien, mon cher domestique, fais moi voir un peu comment tu fais le ménage avec ta langue.
Je m’applique alors à effacer avec des petits coups de langue les traces du sperme que je n’aurais pas déjà avalé. Il remet lui même son sexe dans son pantalon et ajoute en riant :
- Et bien, il est très clair que tu es meilleur avec ta bouche qu’avec un plumeau. Pour peu que tu sois aussi doué avec ton cul, je me demande même si je ne devrais pas te prendre plutôt à mon service comme soubrette !
En y repensant, c’est clairement là que tout a basculé. Du simple jeu de fessée punitive nous sommes passés clairement à une relation Maître-esclave. Cela m’a surpris parce que je ne pensais pas y prendre goût à ce point, si vite. C’est surement comme beaucoup de choses : il suffit de trouver la bonne personne !
Après deux mois de rencontres régulières, nous continuons sur le même mode : je suis un domestique, puni par la fessée et faisant pardonner ses bêtises par ses attentions buccales. J’ai eu le plaisir de goûter au paddle en bois d'une manière à la fois cuisante et délicieuse : comme à l'accoutumée, il m'avait courbé sous son bras mais avait pris soin de prendre ma queue dans sa main. Chaque coup de paddle avait pour effet de me bruler les fesses mais aussi de faire bouger ma queue dans sa main. Il a arrêté la punition quand j'ai joui et m'a forcé à lécher mon sperme.
Je n'ai eu besoin de le 'calmer' que trois fois en le suçant, même si j'avoue que j'aurais aimé le faire plus souvent. J'aime devoir lui quémander le droit de le sucer. Mais ce que je préfère, c'est quand il entre dans la pièce où je me trouve, plante ses yeux dans les miens et m'ordonne de me mettre à genoux devant lui pour qu'il se soulage. Je me dépêche alors de prendre la position qu'il m'a apprise et qu'il semble affectionner. Je me surprends souvent à prendre des poses osées devant lui. Je tortille des fesses quand il est dans les parages, me penche outrageusement en avant si je sais qu'il est derrière moi et n'hésite pas à faire le ménage à quatre pattes, les fesses bien cambrées, quand il est dans la même pièce que moi. Surtout s’il est dans la même pièce que moi. Je suis du genre plutôt viril dans la vie de tous les jours et me voilà en train de me comporter avec lui comme … comme quoi ? Comme une femelle en chaleur ! Voilà le bon terme.
Autant dire qu’il me plait beaucoup et que j’aimerais aller plus loin avec lui. Mes fesses ont été visitées plusieurs fois par le plug, durant les gâteries et des punitions plus sévères qu’à l’accoutumée. Mais si je dois me donner entièrement à un homme, le sentir bouger et avoir du plaisir en moi, j’aimerais que ce soit lui. Je sais qu’il pourra me demander, me faire n’importe quoi, j’aimerais ça. Et comme apparemment il ne suffit pas de tortiller de la croupe devant lui pour le décider, je vais devoir aller plus loin.
Je me lance à l'eau après une fessée particulièrement sévère. Pas de paddle érotique cette fois. Juste la grosse fessée sur les genoux et les coups de martinet. Je ravale vite mes larmes et viens vers lui, me met à genoux en lui demandant :
- Merci Monsieur. Vous êtes vraiment très bon de vous occuper de moi comme ça. Est-ce que je peux vous remercier avec ma bouche s’il vous pait ?
A ma surprise, il accepte volontiers et je le trouve déjà en pleine érection. Je le regarde toujours dans les yeux quand je le suce et je profite du moment où je sais qu'il va jouir pour ralentir. Je lui avoue alors, entre deux coups de langue sur son gland :
- J’ai repensé à votre idée d'être votre soubrette et je pense que j'aimerais beaucoup cela.
Il me fait un sourire en coin qui parle de lui-même et me dit de finir de le sucer, qu'il va y réfléchir. Mon ‘Merci Monsieur’ est très sincère mais incompréhensible car j’ai la bouche pleine. En tout cas, je pense mettre toutes les chances de mon côté en me retirant de moi-même avant qu’il ne jouisse et me mettant dans la position qu’il aime, à genoux, les mains dans le dos et la bouche grande ouverte. J’éprouve vraiment beaucoup de satisfaction à lui donner du plaisir de cette façon. Je veux qu’il le sache et qu’il accepte d’aller plus loin. En écrivant ces lignes, je m’aperçois que je n’ose même pas dire la simple vérité : j’aime être son vide-couille.
Dès le lendemain, après m'être déshabillé en arrivant (dorénavant je ne porte plus qu’un marcel blanc et passe mes journées les fesses nues), il me dit qu'il accepte de me prendre à l'essai comme soubrette. Mais pour vérifier si la qualité de mon travail ne s'en ressentira pas, je vais devoir, pendant quelques temps porter des talons hauts. Il me tend alors une paire d'escarpins noirs avec des talons de 9 cm. Le rendement est évidemment catastrophique car je manque de tomber à chaque pas. Il ne se donne même pas la peine de me fesser et me dit simplement de retirer les chaussures. Je tente alors mon va tout. Je lui tourne le dos, me mets à quatre pattes à ses pieds et cambre bien mes fesses. Je lui dis, par dessus mon épaule :
- C’est dommage que vous ne poussiez pas l’essai de votre soubrette jusqu’au bout, Monsieur.
J'appuie mes paroles en humidifiant un doigt que je passe doucement sur ma rondelle. Je le sens s'agenouiller derrière moi. J'entends sa boucle de ceinture et sa braguette. Je sens rapidement son sexe contre mes fesses. Il est déjà très dur. Même si j'attendais ce moment avec excitation, l’appréhension me crispe. Cette peur, associée à l’absence coutumière de ménagement de sa part, me fait attendre plus de douleur que de plaisir. J’essaie de me détendre un maximum quand, toujours sans un mot, d'une main il écarte la fente de mes fesses et de l'autre, tenant son sexe comme un pieu, s'enfonce en moi. Je crie plus de surprise que de douleur : il m’a pénétré d’un coup, jusqu’à la garde, et ses mains puissantes fermement agrippées sur mes hanches me retiennent prisonnier. Ses premiers coups de rein m’arrachent d’autres petits cris, résultat du savant mélange douleur-plaisir que j’affectionne tant. La fessée m’apportait déjà cette sensation et j’ai découvert une nouvelle façon de l’éprouver ! La nouveauté est dans le plaisir de l’autre. On sait qu’on régale un fesseur par nos gestes, nos mots et la rougeur de nos fesses. Je tenais avec la sodomie une autre occasion de l’amener à l’orgasme.
Toujours au milieu de mes petits cris et des claquements de son bas ventre sur mes fesses, tous deux provoqués par ses coups de boutoir, j'entends sa voix me sermonner :
- Tu n'attendais que ça, hein ? Tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit manège ? Allez, fais moi voir comme tu sais faire la soubrette en train de se faire dépuceler ! Je veux t’entendre miauler comme une petite chatte en chaleur !
Je pousse alors le vice à m’appliquer à pousser des cris plus féminins, à onduler des hanches et à devancer ses mouvements. Je vais même jusqu’à pincer mes tétons. Ses coups de rein redoublent de vitesse. Et si une main quitte mes hanches, ce n'est que pour m'assener des grandes claques sur les fesses. Je sens monter en moi un plaisir inconnu : je sens que je pourrais jouir comme ça, en me donnant à lui. Je l’encourage donc à me baiser plus fort et plus vite. Je sens que j’oublie toute pudeur devant lui et cet abandon augmente tellement mon plaisir que je jouis bruyamment. Ejaculer sans toucher son sexe ! Un ami homo m’avait dit que cela pouvait arriver mais je ne l’avais pas cru. Et pourtant voilà que mon Maître arrivait à me faire jouir comme une femme. Juste après ma jouissance, je le sens se raidir : son jus me remplit. Il se retire, toujours brusquement, et exige de moi une toilette intime. Je me retourne et me penche vers sa queue gluante que je lèche jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Je ne m’interromps que pour le remercier à de nombreuses reprises. Ces ‘Merci Monsieur’ ne font pas partie du jeu. Ils sont très réels et proportionnels au plaisir qu’il m’a donné.
Il m’a avoué plus tard avoir été lui-même surpris que je puisse jouir comme ça. C’est cela et aussi de me voir ainsi, à peine dépucelé, lui nettoyer le sexe en le remerciant sincèrement, presque amoureusement, et en tortillant des fesses comme si j’en redemandais, qui l’a poussé à aller encore plus loin.
Il se remet debout et, tout en m'ordonnant de garder cette position, la tête près du sol et les fesses en l’air, quitte la pièce. Il revient quelques instants plus tard, le plug à la main. Plug qu'il prend bien soin de me montrer en souriant. Il passe derrière moi et l'enfonce dans un anus que je sens encore très ouvert.
- Tu vas garder ça toute la journée. Je veux que tu ne le retires qu’une fois chez toi. En regardant mon sperme s’écouler de ton cul, tu vas réfléchir très sérieusement au fait de ce que cela implique de devenir ma soubrette. Attends-toi à des exigences plus grandes. Tu devrais être rasé entièrement en permanence et porter des vêtements féminins toute la journée. Je serai intraitable sur la qualité de tes tenues et de ton maquillage. Tu devras apprendre aussi à être efficace avec des talons hauts. Attends-toi donc à de nombreuses fessées ! Dernier point, tu t’imagines bien que ta bouche et ton cul seront à ma disposition. Alors réfléchis bien ! En attendant, remets-toi au travail. Tu me donneras ta réponse samedi prochain : si tu prends ton service normalement, tu resteras mon domestique et nous continuerons nos jeux habituels. Si tu es nu, entièrement rasé, les ongles des pieds vernis en rouge et que tu attends sur le paillasson que je vienne t’ouvrir, alors tu seras ma soubrette ! Petite précision, tu devras attendre à quatre pattes, le plug entre les dents. Je commence à te connaître un peu et je sens que très rapidement, tu deviendras ma chienne soumise ! Autant t’habituer tout de suite !
Programme très alléchant mais parfaitement irréaliste : comment justifier auprès de ma compagne le fait de se raser entièrement ? C’est déjà suffisamment difficile de subir son regard lorsqu’au sortir de la douche elle contemple les marques laissées par les fessées précédentes. La seule solution serait de tout lui avouer : autant dire la perdre. Je ne me vois pas lui avouer que je prends du plaisir à des pratiques carrément SM, avec un homme qui plus est. Je n’ai pas réfléchi longtemps à ce dilemme : elle est plus importante que mes fantasmes et je décide d’en donc d’en parler au téléphone, dès le lendemain, à mon Maître, puisqu’il faut bien un jour commencer à l’appeler comme il se doit. Il est très compréhensif. Il a lui-même dû cacher à sa femme sa passion pour ces jeux. Nous confirmons donc que notre prochaine rencontre sera basée toujours sur le jeu patron-domestique.
Aussi quelle ne fut pas ma surprise lorsque le samedi matin, me préparant à partir, ma femme me dit :
- Tu sors ? Mais je croyais que tu faisais ça ici aujourd’hui ?
A mes yeux ébahis, elle poursuit :
- Michel a appelé hier soir avant que tu ne rentres du travail
J’ai cru que j’allais tomber dans les pommes !
- Qu’ … qu’ … qu’est-ce … qu’est-ce qu’il t’a dit ?
- Et bien nous avons bien papoté. Il est très gentil. Et il a fini par m’avouer qu’il regrettait de n’avoir jamais mis sa femme au courant de ses jeux. Il trouvait très triste que je ne puisse pas participer au moins une fois, juste pour voir. Mais dis-moi, je ne savais pas que tu faisais ça avec des hommes ?
- Et bien … euh … disons que j’aime bien les deux mais je préfère avec un homme. Et puis tu comme l’as dit, Michel est quelqu’un de très sympa avec qui je m’entends bien.
- Ne t’inquiètes pas, ça me va très bien comme ça ! me dit-elle en souriant. Au moins, je suis sûre que tu ne me trompes pas.
- Oui, c’est vrai, comme ça tu es sûre, mentis-je
- Mais je pensais qu’il t’avait mis au courant. Cela ne te gêne pas si je suis là ?
- Non pas du tout. Bien au contraire. N’oublies pas que j’ai essayé de te faire participer dès le début de notre relation.
- Oui, c’est vrai et je reste sur mes positions. Mais là, en tant que simple spectatrice, c’est complètement différent ! Je ne sais pas encore si je vais aimer mais en tout cas je suis très curieuse de voir ça ! Mais dis-moi, pour parler crument, il te fesse comment ? Pas tout nu quand même ?
- Euh … si, cela arrive quelques fois
- J’ai hâte de voir ça ! me lance-t-elle avec un sourire en coin
J’avais l’air malin moi, empêtré dans mes mensonges. ‘Cela arrive quelques fois …’, tu parles ! Pour peu qu’il vienne avec le martinet, je vais avoir l’air fin. Et s’il me fait pleurer ? Et si cela dérape côte SM ? Côté sexe ? Mais bon, pas de recul possible : j’ai tellement insisté pour qu’elle soit ma compagne de jeux que je ne peux plus lui demander de partir.
Dans les épisodes suivants, vous découvrirez :
- que ma femme, pourtant si rétive au départ, prendra une part active à nos jeux.
- que Michel est un bon père qui sait faire profiter de ses largesses ses fils lorsqu’ils sont en vacances chez lui.
- que prenant goût au travestissement, je poursuis d’autres aventures de mon côté et réalise d’autres fantasmes.
Si vous avez aimé ce texte, encouragez-moi en me laissant un message à mon adresse marc_clfd63@yahoo.fr.
Je vis en couple avec une femme à laquelle je suis fidèle en tous points sauf un : la fessée. Elle ne partage pas mon goût pour cette pratique. Point final. C’est donc avec son accord que je m’échappe de la maison de temps en temps pour assouvir ce fantasme. La seule condition que j’ai toujours respectée est de ne pas la tromper. Préférant être fessé par un homme, chose que je me suis bien gardé de lui dire, je risquais d’autant moins de manquer à ma parole. Enfin, jusqu’au jour où …
En parcourant un site web gay où je rode parfois pour essayer de trouver un adepte partageant mes goûts, je suis tombé sur ceci :
« Cherche homme de ménage pour entretien grande maison. Attends un travail réel et soigné. Barème de punitions et de rémunération à établir »
Le texte de la petite annonce était plutôt prometteur.
Après un premier dialogue très chaste sur le site, je fis plus ample connaissance avec mon futur ‘employeur’ via MSN. Rapidement, il est évident que nous semblions avec les mêmes goûts pour les mêmes jeux. Ce monsieur d’une cinquantaine d’années (j’en ai 28) m’a rapidement proposé de m’inviter à dîner. Je fus un peu surpris par une offre si directe mais l’échange de photos étant satisfaisant, j’ai accepté.
Il me reçoit dans sa maison, un peu retirée de la ville. A vue de nez, 300 m² repartis sur deux étages, un parc de bonne taille et une piscine. En bref, la maison d’un homme qui a réussi dans la vie.
Quand il m’ouvre la porte, je suis rassuré : il est bel et bien tel que sur la photo. Environ 1m95, soit une bonne tête de plus que moi, les cheveux et une barbe courte, poivre et sel. Des mains immenses mais belles et puissantes que je remarque tout de suite lorsque nous nous saluons. Il porte un costume sans cravate. L'absence de trace d’embonpoint et la largeur de ses épaules laissent deviner qu’il prend soin de lui en faisant régulièrement du sport.
A l’apéritif, nous nous racontons un peu nos vies. Il est veuf et vit seul. Ses deux fils vivent à l’étranger et ne viennent qu’une fois par an. Il cherche à faire d’une pierre deux coups : un piment pour son quotidien et une aide sérieuse pour entretenir une maison devenue trop grande. Il insiste lourdement sur ce point : il est très attaché à ce que, sur la forme, la relation employeur-employé soit clairement établie. Etant donné que je serai rémunéré, il attend de moi que le travail soit fait et bien fait. L’amusement viendra en plus. Je constate ainsi avec plaisir que nous pratiquons notre jeu favori de la même manière : on en parle beaucoup au début mais une fois qu’on est lancé, on joue à fond.
Nous nous étions mis d’accord sur un pseudo-salaire (bien que nous ne soyons pas là pour ça, cela fait partie du jeu) et les horaires de nos rencontres lors de nos dialogues sur le Net. J’attendais poliment la fin du dîner pour lui demander son avis sur ma ‘candidature’ (il m’a avoué que son annonce avait eu beaucoup de succès) quand il prit les devants :
- Alors, toujours partant ? On fait un essai ce soir ?
- Bien sûr ! Avec plaisir ! répondis-je, soulagé
- Que dirais-tu de débarrasser la table et de faire la vaisselle ?
- Pas de problème, allez vous détendre dans le salon, je m’occupe de tout !
- Bon, comme on commence tout de suite, on peut mettre en place ce dont on avait convenu ?
- Euh … C'est-à-dire ?
- J’aimerais que tu termines tes phrases par ‘Monsieur’
- Ah oui ! J’avais oublié. Désolé Monsieur.
Un échange de sourire complice et voilà, c’est parti ! De toutes façons, j’ai eu le temps d’y réfléchir et le moment passé avec lui autour du repas me donne vraiment envie de découvrir la suite. J’ai croisé beaucoup de gays pour qui la fessée n’est qu’un petit panpanculcul érotique pour passer ensuite au sexe ‘classique’. J’espérais avoir enfin trouvé la perle rare. Il me restait encore à lever un doute : nous nous étions échangés nos certificats VIH négatifs car pour lui, les jeux de fessées pouvaient rapidement déraper et il convenait d’être prudent. Reste à savoir quelle partition serait jouée …
Je me lève donc et entreprend de débarrasser la table pendant qu’il va s’installer devant la télévision.
Une quinzaine de minutes plus tard, il revient. J’en suis encore à faire des allers-retours dans cette maison décidemment immense (j’étais loin de la vérité avec mes 150 m² par étage). La cuisine est à l’autre bout d’un couloir interminable et je sens bien qu’il s’impatiente.
- Pas encore terminé ? Dis-moi, tu es toujours aussi lent ?
Son ton a changé, il est semble très sérieux. Je me pose même la question si c’est un très bon acteur ou s’il y croit vraiment …
- Non Monsieur, c’est simplement que la maison est très grande
- Oui, et il va falloir t’y faire si tu veux cette place. Accélères un peu, veux-tu ?
- Bien Monsieur.
Immanquablement, je confonds vitesse et précipitation. J’échappe un verre de vin rouge à moitié plein sur le tapis du salon ! Même si le bruit est faible, il est debout près de moi dans la seconde (si moi je ne l’ai vraiment pas fait exprès, je le soupçonne très fortement de guetter ma première faute pour me tester).
- Bon, voilà qui met fin à ton essai mon garçon.
- Je suis désolé. Je ne l’ai pas fait exprès
- Il ne manquerait plus que ça !
- Je vais nettoyer, ne vous en faîtes pas
- Oui, je sais que tu vas nettoyer. Tu devrais même déjà être en train de le faire.
Je fonce dans la cuisine pour aller chercher le nécessaire et je me mets à l’œuvre. A peine un quart d’heure que l’on a commencé et je suis déjà à quatre pattes devant lui en train de frotter le tapis du salon. Quel début !
Coup de chance, la tache part entièrement. Je suis plutôt satisfait. Lui continue sur le registre de la colère.
- Bon, et bien maintenant tu peux partir.
- Mais, j’ai enlevé la tache.
Il approche de moi à grands pas, s’arrête juste devant moi. Il me domine de son mètre quatre vingt quinze.
- Je t’ai déjà dit de m’appeler Monsieur. Ca aussi c’est trop compliqué pour toi ?
Son regard noir me fait bafouiller un ‘Non Monsieur’ des plus pitoyables.
- Tu crois que j’ai du temps à perdre à former un domestique ? J’ai l’embarras du choix, figures-toi. Je n’ai qu’à décrocher mon téléphone pour qu’un autre te remplace dès demain, tu comprends ?
- Oui, Monsieur
- Mais bon, je t’ai dit que je te donnais ta chance ce soir. Je vais aller au bout de l’idée. Si à la fin de la soirée, je ne vois aucun signe d’amélioration, tu vires ! Compris ?
- Oui Monsieur. Je vais m’appliquer je vous le promets. J’ai vraiment besoin de cet emploi, ajoutais-je pour lui donner le change
- Si c’est vraiment le cas, alors tu me remercieras après avoir reçu ta punition. Va dans l’entrée et rapporte-moi ce que tu trouveras dans le premier tiroir de la commode.
Hou la la ! Ca démarre fort ! Il est très doué pour créer de suite une ambiance très propice à la fessée punitive et j’adore ça. Je vais dans l’entrée en courant, pour lui faire plaisir mais surtout pour échapper enfin à son regard qui me fiche quand même un peu la frousse. Je sais que nous avions convenu d’un mot de passe pour arrêter le jeu mais j’ai encore l’appréhension de la première fois avec lui.
Ce que je trouve dans le tiroir n’est qu’une demi-surprise et je reviens vers lui, un martinet en cuir à la main. C'est un modèle ancien, genre anglais période victorienne, avec une dizaine de grosses lanières carrées en cuir noir. Son manche est lourd. Pour moi qui suis habitué aux modèles achetés à la sauvette au rayon animalerie des supermarchés, il a l’air terrifiant.
- Penche-toi sur la table, jambes serrées et tendues. Les mains sur la tête.
Je m’exécute maladroitement et il corrige ma position. Il se met sur le côté et je reçois alors une dizaine de coups rapides qui me chauffent instantanément les fesses.
- Qu’est-ce qu’on dit ?
- Merci
L’oubli du Monsieur rituel (je n’arrive pas encore à m’habituer mais je crois qu’il va m’apprendre) !
Une autre dizaine de coups. Je croyais que les premiers étaient forts, j’ai eu tort : j’ai déjà le derrière qui chauffe ! Même à travers le jean !
- Qu’est-ce qu’on dit ?
- Merci Monsieur
- C’est mieux. Allez, au travail maintenant. Et je te préviens, j’ai le martinet à portée de main. A la prochaine bêtise, il viendra caresser tes fesses nues, compris ?
- Oui, Monsieur
La suite se passe plutôt bien et je réussis à allier la vitesse et la qualité. Enfin, c'est ce que je crois. Il vient dans la cuisine inspecter la vaisselle que je viens de terminer et trouve de nombreuses traces. Furieux, il me prend par l'oreille et me conduit manu militari dans le salon. Il tire tellement fort que je ne sais toujours pas aujourd’hui si mes pieds ont touché le sol durant le voyage. Dans le même geste, il prend une chaise, s'assoit et me courbe sur ses genoux. Je reçois une pluie de claques sur les fesses et, malgré la protection de mon jean, les larmes me montent aux yeux. La fessée continue, de plus en plus fort, et ses mains de bucheron ont un effet dévastateur.
- Allez, redresses-toi.
Je me lève et porte tout de suite par réflexe mes mains sur mes fesses. Il sourit franchement quand je le remercie comme je pense qu’il aimerait que je le fasse. Son sourire un peu carnassier prend aussi surement sa source dans le début de larmes qui fait briller mes yeux.
- Mais ce n’est pas fini, qu’est-ce que tu crois ? Maintenant que tu pleurniches comme une fillette, je vais pouvoir te donner ta vraie fessée. Et pour me montrer que tu sais être obéissant et acceptes mon éducation, tu vas toi-même baisser ton jean et ton caleçon et venir te remettre en position.
Comme il voit que j’hésite, il ajoute :
- Plus tu me feras attendre et plus ta fessée sera sévère !
J’obéis à ses ordres et, honteux comme jamais, je m’allonge en travers de ses genoux. Il me repositionne à sa guise et recommence de suite à me donner de grandes claques sur les fesses et le haut des cuisses. J’ai beau me tortiller mais rien n’y fait. Il passe un temps sa jambe par-dessus les miennes pour me maintenir plus fermement mais se ravise en me remettant à plat sur ses genoux, pensant à juste titre que la fessée n’en sera que plus douloureuse.
Quand il s’arrête et me fais me redresser, je me surprends moi-même à pleurer à chaudes larmes. Adepte des fessées dites ‘punitives’, c’est un moment que j’attendais depuis très longtemps et lui a réussi à me l’apporter dès notre première rencontre. Mon érection trahit mon excitation et le pousse à aller plus loin :
- Allez, la suite !
Je ne comprends pas. Que veux-t-il encore ?
- Le martinet ! Allez, dépêches-toi un peu ! Tu as encore du travail.
Mes supplications (à peine jouées) n'y feront rien, il restera intraitable. Je vais cherche le martinet en pleurant, les jambes empêtrées dans mon pantalon et en frottant mes fesses qui cuisent littéralement. Il se met debout près de moi, me courbe sous son bras et fait tomber plusieurs fois le martinet. Je trépigne comme je peux, me débat mais il est plus grand et plus fort que moi, mes efforts pour m'échapper sont vains. Une fois qu'il est satisfait de la couleur de mes fesses, il me redresse et m’ordonne :
- Allez, au piquet ! Et enlèves tout sauf ton polo. Tu resteras cul nu pour le reste de la soirée. Je sens que je vais avoir du travail avec toi et on va gagner du temps si tes fesses sont toujours à portée.
Au bout d'une dizaine de minutes, il me libère :
- Tu peux retourner travailler. Va refaire la vaisselle, tu as 10 minutes.
Lorsque je passe devant lui, la claque sur les fesses que je reçois me rappelle, si besoin était, qu’il a la main lourde.
La fin de la soirée approche. Bilan ? La vaisselle est très propre et bien rangée. La table de la salle à manger est impeccable, tout comme le tapis du salon. En bref, mon ‘patron’ semble satisfait. De mon côté, j’ai profité d’un petit instant de répit pour inspecter mes fesses dans le miroir du couloir : elles sont très rouges mais moins que je croyais. Par contre, le martinet laisse de vilaines boursouflures qui mettront du temps à disparaitre.
Mais cela en valait la peine car je repars, non seulement avec une érection douloureuse d’avoir duré presque toute la soirée, mais aussi avec le droit de revenir.
Deux autres séances un peu identiques et les choses vont évoluer rapidement. A ma quatrième venue, il prend le prétexte que les carreaux du salon sont sales (il a plu dans la journée) pour de me menacer d’arrêter le ‘contrat’. Mais cette fois, pas de fessée à l’horizon. Les choses ont l’air plus sérieuses. Il semble furieux et me refait le coup du regard noir. Il aurait tort de s’en priver, cela marche à merveille !
- Je commence vraiment à en avoir assez. Tu fais tout de travers. Je ne vais jamais y arriver avec toi ! Je me demande carrément si tu veux réellement ce travail ?
- Oui Monsieur, je veux vraiment ce travail ! Je suis désolé pour les vitres mais c’est la pluie !
- Des excuses, toujours des excuses ! Tu ne te rends pas compte de la chance que tu as ? Je t’offre un bon travail, bien payé et pas compliqué. Je prends même du temps, beaucoup de temps, à t’éduquer et voilà comment tu me remercies ! D’autres seraient prêts à me supplier à genoux pour cet emploi !
C’est bon, j’ai compris. Je le vois venir. Il veut que je le supplie vraiment. Entre son regard qui me fait trembler et mon envie sincère de rester, il ne me reste plus qu’à le satisfaire. Je me mets donc à genoux devant lui, je joins les mains et les yeux dans les yeux, le supplie :
- S’il vous plait Monsieur. Je vous en prie, gardez-moi à votre service.
- Et pourquoi est-ce je devrais te garder, tu n’es qu’un bon à rien !
- Je vais m’appliquer encore plus Monsieur, je vous le promets. Je vais être encore plus obéissant.
- Tu me saoules avec tes paroles et tes promesses. Au lieu de parler, tu ferais mieux de me montrer comment un bon domestique doit calmer les nerfs de son patron !
Là aussi, je compris vite là où il voulait en venir. Et j’avoue que cette idée me trottait dans la tête depuis un petit moment : quand allait-il me tester à ce sujet ? La réponse est ‘maintenant’ ! Nous avions fait la liste de ce que nous aimions, pour l’avoir déjà fait ou simplement eu l’envie d’essayer. C’est très facile de cocher des cases sur une feuille, un peu moins de se lancer à l’eau pour passer à l’acte. Je n’avais pratiqué la fellation qu’une seule fois, avec un fesseur particulièrement doué qui me l’avait gentiment demandé. Sans y avoir pris de réel plaisir, j’avoue que je n’ai pas détesté. Quant à la sodomie, à part un doigt féminin de temps en temps, je suis vierge. Seulement voilà, lors de nos échanges préliminaires, j’ai vite senti que j’avais affaire à un fesseur amoureux de son Art et, le voyant un peu insister sur ce sujet, j’ai préféré indiquer que j’aimerais bien essayer. Histoire de laisser la porte ouverte, de ne pas le perdre avant d’avoir passé un moment en travers de ses genoux. Les séances passées m’ont non seulement donné confiance en lui mais j’avoue qu’il m’a offert tellement de plaisir par la qualité de ses jeux que j’ai vraiment envie de lui rendre la pareille. C’est donc toujours à genoux que je m’approche vers lui et tend maladroitement mes mains vers sa boucle de ceinture. Il me cueille à froid avec une grande gifle :
- On ne t’a jamais appris à demander la permission ?
En me frottant la joue, je tente :
- S’il vous plait, est-ce que je peux vous sucer Monsieur ?
- C’est bien, tu apprends vite. Vas-y et appliques toi, c’est ta dernière chance !
Nouvel essai et nouvelle gifle !
- Mets toi nu ! Tu dois toujours être nu et à genoux quand tu voudras te faire pardonner !
Il est là, debout devant moi, les mains sur les hanches et il attend. Je déboucle sa ceinture et baisse sa braguette, sort son sexe de son slip et commence à le lécher doucement. Quand il est dur, je le prends dans ma bouche et le suce plus goulument, sans oublier de caresser ses couilles velues. Il ajoute à ma gêne apparente :
- Regardes moi dans les yeux quand tu t’occupes de moi
Son sexe est beaucoup plus gros et plus long que le mien. Je n’arrive pas à le pomper comme je voudrais et, comme je pense, il aimerait. J’espère compenser en lui léchant souvent les couilles.
- Mouais, c’est pas mal. Mais arrête toi un instant, je veux vérifier quelque chose.
Il va vers la table basse du salon et retire du tiroir un petit plug anal.
- On m’a toujours dit que les garçons dans ton genre suçaient mieux quand ils se faisaient sodomiser en même temps. Alors tu vas sucer un peu ça, histoire de le lubrifier et on va vérifier tout de suite. Et pour ma part, ayant déjà expérimenté que les domestiques suçaient mieux les fesses en feu, tu sais ce qui t’attends …
Il me tend le plug devant le visage et je m’applique à le sucer en y laissant le maximum de salive, étant donné la suite qu’il compte donner à ce préliminaire.
- C’est bon, ça suffit ! Lèves-toi !
Il me courbe sous son bras et m’introduit l’objet sans ménagement. Le petit cri de douleur que je pousse le fait sourire :
- Ah oui, c’est vrai, j’oubliais que tu es vierge ! Allez, viens sur mes genoux que je m’occupe un peu de la couleur de tes fesses.
Après une bonne fessée bien cuisante dont chaque coup résonnait au plus profond de moi par le plug interposé, il me fait lever mais reste assis dans le canapé :
- Allez, au travail !
Je me mets à quatre pattes entre ses jambes et je le reprends en bouche. Il est resté très dur et c’est vrai que l’effet combiné de la fessée et du plug semble fonctionner. Je suis très mais alors ce qui s’appelle très appliqué ! Je ne peux pas le regarder dans les yeux mais je sens que lui n’en perds pas une miette :
- Oui, c’est beaucoup mieux en effet, c’est bien, continues comme ça. Et tortilles un peu des fesses aussi ! Elles sont bien rouges tu sais ! Prends ton temps, va doucement, j’aime quand ça dure !
Après plusieurs minutes des caresses, il semble à point. Il se redresse un peu et repousse ma tête de son sexe :
- Ca va, tu suces correctement au moins. Maintenant, il s’agit de savoir si tu comptes aller jusqu’au bout …
- Oui Monsieur
- Tu ne sais pas faire de phrase ?
Que dire ?
- Commences par « Est-ce que je peux être votre vide-couilles Monsieur ? »
Je répète poliment.
- Mieux que ça ! Et tortilles des fesses en disant ça, si tu veux que je te crois sincère !
Je m’applique et il accepte :
- Et bien c'est parfait ! Dorénavant, tu seras, en plus de mon domestique, mon vide-couille ! Reste à savoir si tu saurais faire ...
Il se remet debout et, en me tirant par une oreille, me remets à genoux puis me fait asseoir sur mes talons.
- Mets tes mains derrière le dos, ouvre la bouche en grand et ferme les yeux. Il faudra t’habituer à cette position. Tu devras la prendre dès que je te ferai savoir que j'en envie de me soulager.
Il prend ma tête à deux mains et m’enfonce son sexe brutalement dans la bouche. Après m’avoir ordonné de bien serrer les lèvres, il commence alors de brusques va et vient. Il jouit alors longuement et ses râles de plaisir sont là pour attester qu’il aime beaucoup cela. Il se retire et ajoute :
- Et bien, mon cher domestique, fais moi voir un peu comment tu fais le ménage avec ta langue.
Je m’applique alors à effacer avec des petits coups de langue les traces du sperme que je n’aurais pas déjà avalé. Il remet lui même son sexe dans son pantalon et ajoute en riant :
- Et bien, il est très clair que tu es meilleur avec ta bouche qu’avec un plumeau. Pour peu que tu sois aussi doué avec ton cul, je me demande même si je ne devrais pas te prendre plutôt à mon service comme soubrette !
En y repensant, c’est clairement là que tout a basculé. Du simple jeu de fessée punitive nous sommes passés clairement à une relation Maître-esclave. Cela m’a surpris parce que je ne pensais pas y prendre goût à ce point, si vite. C’est surement comme beaucoup de choses : il suffit de trouver la bonne personne !
Après deux mois de rencontres régulières, nous continuons sur le même mode : je suis un domestique, puni par la fessée et faisant pardonner ses bêtises par ses attentions buccales. J’ai eu le plaisir de goûter au paddle en bois d'une manière à la fois cuisante et délicieuse : comme à l'accoutumée, il m'avait courbé sous son bras mais avait pris soin de prendre ma queue dans sa main. Chaque coup de paddle avait pour effet de me bruler les fesses mais aussi de faire bouger ma queue dans sa main. Il a arrêté la punition quand j'ai joui et m'a forcé à lécher mon sperme.
Je n'ai eu besoin de le 'calmer' que trois fois en le suçant, même si j'avoue que j'aurais aimé le faire plus souvent. J'aime devoir lui quémander le droit de le sucer. Mais ce que je préfère, c'est quand il entre dans la pièce où je me trouve, plante ses yeux dans les miens et m'ordonne de me mettre à genoux devant lui pour qu'il se soulage. Je me dépêche alors de prendre la position qu'il m'a apprise et qu'il semble affectionner. Je me surprends souvent à prendre des poses osées devant lui. Je tortille des fesses quand il est dans les parages, me penche outrageusement en avant si je sais qu'il est derrière moi et n'hésite pas à faire le ménage à quatre pattes, les fesses bien cambrées, quand il est dans la même pièce que moi. Surtout s’il est dans la même pièce que moi. Je suis du genre plutôt viril dans la vie de tous les jours et me voilà en train de me comporter avec lui comme … comme quoi ? Comme une femelle en chaleur ! Voilà le bon terme.
Autant dire qu’il me plait beaucoup et que j’aimerais aller plus loin avec lui. Mes fesses ont été visitées plusieurs fois par le plug, durant les gâteries et des punitions plus sévères qu’à l’accoutumée. Mais si je dois me donner entièrement à un homme, le sentir bouger et avoir du plaisir en moi, j’aimerais que ce soit lui. Je sais qu’il pourra me demander, me faire n’importe quoi, j’aimerais ça. Et comme apparemment il ne suffit pas de tortiller de la croupe devant lui pour le décider, je vais devoir aller plus loin.
Je me lance à l'eau après une fessée particulièrement sévère. Pas de paddle érotique cette fois. Juste la grosse fessée sur les genoux et les coups de martinet. Je ravale vite mes larmes et viens vers lui, me met à genoux en lui demandant :
- Merci Monsieur. Vous êtes vraiment très bon de vous occuper de moi comme ça. Est-ce que je peux vous remercier avec ma bouche s’il vous pait ?
A ma surprise, il accepte volontiers et je le trouve déjà en pleine érection. Je le regarde toujours dans les yeux quand je le suce et je profite du moment où je sais qu'il va jouir pour ralentir. Je lui avoue alors, entre deux coups de langue sur son gland :
- J’ai repensé à votre idée d'être votre soubrette et je pense que j'aimerais beaucoup cela.
Il me fait un sourire en coin qui parle de lui-même et me dit de finir de le sucer, qu'il va y réfléchir. Mon ‘Merci Monsieur’ est très sincère mais incompréhensible car j’ai la bouche pleine. En tout cas, je pense mettre toutes les chances de mon côté en me retirant de moi-même avant qu’il ne jouisse et me mettant dans la position qu’il aime, à genoux, les mains dans le dos et la bouche grande ouverte. J’éprouve vraiment beaucoup de satisfaction à lui donner du plaisir de cette façon. Je veux qu’il le sache et qu’il accepte d’aller plus loin. En écrivant ces lignes, je m’aperçois que je n’ose même pas dire la simple vérité : j’aime être son vide-couille.
Dès le lendemain, après m'être déshabillé en arrivant (dorénavant je ne porte plus qu’un marcel blanc et passe mes journées les fesses nues), il me dit qu'il accepte de me prendre à l'essai comme soubrette. Mais pour vérifier si la qualité de mon travail ne s'en ressentira pas, je vais devoir, pendant quelques temps porter des talons hauts. Il me tend alors une paire d'escarpins noirs avec des talons de 9 cm. Le rendement est évidemment catastrophique car je manque de tomber à chaque pas. Il ne se donne même pas la peine de me fesser et me dit simplement de retirer les chaussures. Je tente alors mon va tout. Je lui tourne le dos, me mets à quatre pattes à ses pieds et cambre bien mes fesses. Je lui dis, par dessus mon épaule :
- C’est dommage que vous ne poussiez pas l’essai de votre soubrette jusqu’au bout, Monsieur.
J'appuie mes paroles en humidifiant un doigt que je passe doucement sur ma rondelle. Je le sens s'agenouiller derrière moi. J'entends sa boucle de ceinture et sa braguette. Je sens rapidement son sexe contre mes fesses. Il est déjà très dur. Même si j'attendais ce moment avec excitation, l’appréhension me crispe. Cette peur, associée à l’absence coutumière de ménagement de sa part, me fait attendre plus de douleur que de plaisir. J’essaie de me détendre un maximum quand, toujours sans un mot, d'une main il écarte la fente de mes fesses et de l'autre, tenant son sexe comme un pieu, s'enfonce en moi. Je crie plus de surprise que de douleur : il m’a pénétré d’un coup, jusqu’à la garde, et ses mains puissantes fermement agrippées sur mes hanches me retiennent prisonnier. Ses premiers coups de rein m’arrachent d’autres petits cris, résultat du savant mélange douleur-plaisir que j’affectionne tant. La fessée m’apportait déjà cette sensation et j’ai découvert une nouvelle façon de l’éprouver ! La nouveauté est dans le plaisir de l’autre. On sait qu’on régale un fesseur par nos gestes, nos mots et la rougeur de nos fesses. Je tenais avec la sodomie une autre occasion de l’amener à l’orgasme.
Toujours au milieu de mes petits cris et des claquements de son bas ventre sur mes fesses, tous deux provoqués par ses coups de boutoir, j'entends sa voix me sermonner :
- Tu n'attendais que ça, hein ? Tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit manège ? Allez, fais moi voir comme tu sais faire la soubrette en train de se faire dépuceler ! Je veux t’entendre miauler comme une petite chatte en chaleur !
Je pousse alors le vice à m’appliquer à pousser des cris plus féminins, à onduler des hanches et à devancer ses mouvements. Je vais même jusqu’à pincer mes tétons. Ses coups de rein redoublent de vitesse. Et si une main quitte mes hanches, ce n'est que pour m'assener des grandes claques sur les fesses. Je sens monter en moi un plaisir inconnu : je sens que je pourrais jouir comme ça, en me donnant à lui. Je l’encourage donc à me baiser plus fort et plus vite. Je sens que j’oublie toute pudeur devant lui et cet abandon augmente tellement mon plaisir que je jouis bruyamment. Ejaculer sans toucher son sexe ! Un ami homo m’avait dit que cela pouvait arriver mais je ne l’avais pas cru. Et pourtant voilà que mon Maître arrivait à me faire jouir comme une femme. Juste après ma jouissance, je le sens se raidir : son jus me remplit. Il se retire, toujours brusquement, et exige de moi une toilette intime. Je me retourne et me penche vers sa queue gluante que je lèche jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Je ne m’interromps que pour le remercier à de nombreuses reprises. Ces ‘Merci Monsieur’ ne font pas partie du jeu. Ils sont très réels et proportionnels au plaisir qu’il m’a donné.
Il m’a avoué plus tard avoir été lui-même surpris que je puisse jouir comme ça. C’est cela et aussi de me voir ainsi, à peine dépucelé, lui nettoyer le sexe en le remerciant sincèrement, presque amoureusement, et en tortillant des fesses comme si j’en redemandais, qui l’a poussé à aller encore plus loin.
Il se remet debout et, tout en m'ordonnant de garder cette position, la tête près du sol et les fesses en l’air, quitte la pièce. Il revient quelques instants plus tard, le plug à la main. Plug qu'il prend bien soin de me montrer en souriant. Il passe derrière moi et l'enfonce dans un anus que je sens encore très ouvert.
- Tu vas garder ça toute la journée. Je veux que tu ne le retires qu’une fois chez toi. En regardant mon sperme s’écouler de ton cul, tu vas réfléchir très sérieusement au fait de ce que cela implique de devenir ma soubrette. Attends-toi à des exigences plus grandes. Tu devrais être rasé entièrement en permanence et porter des vêtements féminins toute la journée. Je serai intraitable sur la qualité de tes tenues et de ton maquillage. Tu devras apprendre aussi à être efficace avec des talons hauts. Attends-toi donc à de nombreuses fessées ! Dernier point, tu t’imagines bien que ta bouche et ton cul seront à ma disposition. Alors réfléchis bien ! En attendant, remets-toi au travail. Tu me donneras ta réponse samedi prochain : si tu prends ton service normalement, tu resteras mon domestique et nous continuerons nos jeux habituels. Si tu es nu, entièrement rasé, les ongles des pieds vernis en rouge et que tu attends sur le paillasson que je vienne t’ouvrir, alors tu seras ma soubrette ! Petite précision, tu devras attendre à quatre pattes, le plug entre les dents. Je commence à te connaître un peu et je sens que très rapidement, tu deviendras ma chienne soumise ! Autant t’habituer tout de suite !
Programme très alléchant mais parfaitement irréaliste : comment justifier auprès de ma compagne le fait de se raser entièrement ? C’est déjà suffisamment difficile de subir son regard lorsqu’au sortir de la douche elle contemple les marques laissées par les fessées précédentes. La seule solution serait de tout lui avouer : autant dire la perdre. Je ne me vois pas lui avouer que je prends du plaisir à des pratiques carrément SM, avec un homme qui plus est. Je n’ai pas réfléchi longtemps à ce dilemme : elle est plus importante que mes fantasmes et je décide d’en donc d’en parler au téléphone, dès le lendemain, à mon Maître, puisqu’il faut bien un jour commencer à l’appeler comme il se doit. Il est très compréhensif. Il a lui-même dû cacher à sa femme sa passion pour ces jeux. Nous confirmons donc que notre prochaine rencontre sera basée toujours sur le jeu patron-domestique.
Aussi quelle ne fut pas ma surprise lorsque le samedi matin, me préparant à partir, ma femme me dit :
- Tu sors ? Mais je croyais que tu faisais ça ici aujourd’hui ?
A mes yeux ébahis, elle poursuit :
- Michel a appelé hier soir avant que tu ne rentres du travail
J’ai cru que j’allais tomber dans les pommes !
- Qu’ … qu’ … qu’est-ce … qu’est-ce qu’il t’a dit ?
- Et bien nous avons bien papoté. Il est très gentil. Et il a fini par m’avouer qu’il regrettait de n’avoir jamais mis sa femme au courant de ses jeux. Il trouvait très triste que je ne puisse pas participer au moins une fois, juste pour voir. Mais dis-moi, je ne savais pas que tu faisais ça avec des hommes ?
- Et bien … euh … disons que j’aime bien les deux mais je préfère avec un homme. Et puis tu comme l’as dit, Michel est quelqu’un de très sympa avec qui je m’entends bien.
- Ne t’inquiètes pas, ça me va très bien comme ça ! me dit-elle en souriant. Au moins, je suis sûre que tu ne me trompes pas.
- Oui, c’est vrai, comme ça tu es sûre, mentis-je
- Mais je pensais qu’il t’avait mis au courant. Cela ne te gêne pas si je suis là ?
- Non pas du tout. Bien au contraire. N’oublies pas que j’ai essayé de te faire participer dès le début de notre relation.
- Oui, c’est vrai et je reste sur mes positions. Mais là, en tant que simple spectatrice, c’est complètement différent ! Je ne sais pas encore si je vais aimer mais en tout cas je suis très curieuse de voir ça ! Mais dis-moi, pour parler crument, il te fesse comment ? Pas tout nu quand même ?
- Euh … si, cela arrive quelques fois
- J’ai hâte de voir ça ! me lance-t-elle avec un sourire en coin
J’avais l’air malin moi, empêtré dans mes mensonges. ‘Cela arrive quelques fois …’, tu parles ! Pour peu qu’il vienne avec le martinet, je vais avoir l’air fin. Et s’il me fait pleurer ? Et si cela dérape côte SM ? Côté sexe ? Mais bon, pas de recul possible : j’ai tellement insisté pour qu’elle soit ma compagne de jeux que je ne peux plus lui demander de partir.
Dans les épisodes suivants, vous découvrirez :
- que ma femme, pourtant si rétive au départ, prendra une part active à nos jeux.
- que Michel est un bon père qui sait faire profiter de ses largesses ses fils lorsqu’ils sont en vacances chez lui.
- que prenant goût au travestissement, je poursuis d’autres aventures de mon côté et réalise d’autres fantasmes.
Si vous avez aimé ce texte, encouragez-moi en me laissant un message à mon adresse marc_clfd63@yahoo.fr.
Ven 8 mai 2009
Aucun commentaire