CA PLAIRA PAS à TOUT LE MONDE
Expérience libertine De Maeva et Jean Claude.
Ceci est l’histoire vraie de notre toute première expérience libertine de couple Maeva mon épouse et moi même.
Nous sommes mariés depuis bien longtemps maintenant. Maeva est une jolie Tahitienne que j’ai connue lors de mes nombreux séjours en Polynésie, comme militaire. Au début de notre mariage, comme beaucoup d’homme, je fantasmais sur ma femme. L’imaginant avec d’autres, dans des situations les plus inavouables et invraisemblables. Nous avions tous les deux beaucoup de fantasmes. Elle aimait partager et jouer à nos jeux intimes. Il lui arrivait de porter une perruque et d’accepter d’être menottée ou d’avoir les yeux bandés. Le viol simulé, la visite médicale, l’exhibition étaient les scénarios que nous aimions.
L’idée d’associer réellement et non plus en imaginations d’autres personnes, d’autres hommes à nos jeux, est vite devenu un sujet de discutions brulantes entre nous deux. Il n’a pas été aisé de la convaincre. Le soir dans notre lit, elle voulait bien. Mais se rétractait le lendemain matin. Elle mettait des conditions démesurées pour le faire. Bien sur et je le comprenais, il était hors de question de le faire chez nous. Souvent seule a la maison, elle aurait pus être importunée durant mes absences par un de nos invités qui serait revenu.
Nous habitions Toulon à cette époque. Et nous ne voulions pas prendre le risque de nous retrouver avec une ou des personnes susceptibles de nous connaître de près comme de loin. C’était donc Marseille qui a eu notre préférence. Il n'a pas été trop compliqué de trouver des lieux d’échanges, de rencontres. Plusieurs demandes de renseignements par téléphone ont été toute fois nécessaires avant de faire notre choix. Les choix, en plus étaient pour le moins limité. Deux ou trois saunas qui organisaient des rencontres entre couple certains après midi ou certaines soirées. Autrement nous devions chercher et répondre à des petites annonces souvent mensongères. Ce qui était plus frustrant.
Nous nous sommes enfin décidé pour un sauna. Avec Maeva, nous étions excités de préparer ce moment. Nous l’avons vécu plusieurs fois dans nos têtes les jours précédant. Nous ne voulions pas le faire le soir ou la nuit, car on nous avait dit qu’il risquait d’y avoir trop de monde. On nous avait conseillé de venir pour une première fois un après midi de préférence en semaine. Tout était en fonction de ce que nous recherchions.
Maeva est très jolie, elle a le type Polynésien bien sur, elle est magnifique. De longs cheveux noirs souvent retenus par un chignon. Un visage agréable à regarder, toujours souriante, un corps toujours splendide. Une couleur de peau pain d’épices, et miel.
Elle était déjà très élégante. Aimait s’habiller et choisir ses vêtements et sous-vêtements avec soins et beaucoup de gout. Ils nous arrivaient de choisir ensemble sa lingerie dans des magasins spécialisés. Nos préférences ont souvent été les couleurs clairs ou pastels, ou les ensembles en voile et dentelle blanche ou noir aussi.
J’avais du prendre un jour de congé. Durant le trajet, le matin nous étions pour le moins anxieux. Nous nous répétions ce que nous accepterions et ce que nous refuserions. Il était évident qu’il ne ce passerait rien si cela ne nous convenait pas. Nous avions confiance l’un dans l’autre. Jamais je ne l’aurais forcée à faire quoi que ce soit avec une personne qui ne lui convenait pas. Pour cette toute première fois nous voulions trouver un homme pas trop vieux, pas trop moche, propre et gentil. Rien ne s’est passé comme nous le souhaitions.
Nous avons déjeuné à Marseille dans un petit restaurant proche du lieu de rendez vous qui se trouvait dans une toute petite rue tout en haut de la canebière. Nous n’avions pas vraiment faim. Mais il fallait bien attendre l’ouverture, et nous ne voulions pas arriver les premiers.
Le responsable qui était certainement homosexuel nous a informé des conditions et nous a fourni deux serviettes de bain propres mais rêches, tant elles avaient du être lavées, ainsi qu’une clé et un cadenas me semble-t-il.
L’endroit, était sordide. Glauque, sombre. De nombreux couloirs étroits desservaient de minuscules alcôves qui fermaient par de simples rideaux. Un matelas en mousse posé sur le sol, recouvert d’un drap douteux en était le seul objet présent. A l’étage, une immense pièce recouverte de matelas devait être un lieu de débauche sans retenu. Une ou deux cabines de sauna étaient en fonction, des douches, un vestiaire avec plusieurs caissons pour ranger nos vêtements. Il y avait aussi un bar avec une télévision qui diffusait des films pornographiques homosexuels. C’était sordide. Il n’y avait pas grand monde, cinq ou six personnes, que des hommes d’âges divers mais qui semblaient tous être homo. Ils déambulaient allant d’un endroit à l’autre uniquement drapé d’une serviette de bain. Je me souviens un moment d’avoir croiser un homme d’âge mur qui tenait par la main un jeune qui devait avoir dix huit ans à peine. Je n’étais pas trop enthousiasmé, Maeva encore moins. J’avais honte de l’avoir entrainée dans un endroit pareil. Nous venions de payer et nous étions dans le vestiaire. Nous, nous parlions à voix basses. Nous demandons quelle attitude prendre, partir ou rester. Maeva n’était pas très chaude de rester. Mais, malgré le peu d’engagement que donnait le lieu, c’était excitant de ce trouver la, de voir ma femme dans cet endroit. Je l’encourageais lui disant, que nous le regretterions peut-être si nous partions de suite et n’oserions plus jamais revenir. Cela ne nous engagés a rien de voir plus loin. Nous nous sommes déshabillés et enveloppés le corps de la serviette que l’on nous avait donnée. Maeva la portait attachée au dessus de la poitrine et moi autour de la taille. Je me souviens, qu’elle voulait et avait gardée sa petite culotte. Moi, j’étais nu dessous ma serviette. Nous sommes sortis du vestiaire après avoir bien sur enfermés à clé nos vêtements.
Il y avait de la musique douce en sourdine. Nous sommes rentrés dans un des deux saunas qui étaient vide. Nous nous sommes assis l’un a coté de l’autre les jambes allongés sur le banc. Il faisait chaud bien sur. Nous avions décidé de rester au sauna une trentaine de minutes et de partir après avoir pris une douche si rien ne se passait.
Au bout d’une dizaine de minutes, un couple est rentré. Je ne pourrais pas dire à ce moment s’ils étaient dans le club avant nous ou s’ils venaient de rentrer. Lui avait la soixantaine, grand, les cheveux clairs tirés en arrière, maigre et très bronzé. Elle semblait plus jeune, avait peu être cinq ou six ans de moins, les cheveux clairs, petite et mince bronzée aussi. J’ai pensé de suite qu’ils devaient être mari et femme, comme nous. Ils se sont assis et de suite elle a baissée sa serviette sur les hanches dévoilant une petite poitrine qui tombait. Maeva pudique et timide avait gardée la sienne autour de son corps. Ils se sont adressés à nous et nous avons sympathisés. Nous leur avons avoué que c’était notre toute première fois que nous nous rendions dans ce genre d’endroit. Ils nous on mit au courant des us et coutumes de l’endroit. Des dangers, de ce qu’il fallait faire et ne pas faire.
Ils nous ont indiqué qu’il y avait beaucoup d’homosexuels en semaine. Que bien sur il était préférable de venir lors des soirées organisées. La femme demanda à son mari d’aller cherchée pour une heure la clé d’une alcôve privée. Elle nous expliqua ensuite, qu’il existait aussi quatre ou cinq petites alcôves dans lesquelles nous pouvions nous enfermer. Elles étaient rassemblées dans un couloir qui lui aussi fermait a clé. C’était beaucoup mieux pour s’y reposer et y être tranquille. Alors que dans celles qui fermaient par de simples rideaux nous étions sur d’être continuellement dérangés. Les alcôves privées étaient bien sur payantes et se louaient à l’heure.
Le type est revenu avec les clés. Avec Maeva nous étions convenus de rester encore une quinzaine de minutes et de partir après une douche. De temps en temps, un homme rentrait et s’asseyait, il restait quelques minutes et ressortait. La femme nous dit que pour être tranquille, je ne devais pas emmener Maeva dans une des alcôves qui fermait avec un rideau et encore moins dans la pièce du haut. A moins bien sur d’en accepter les conséquences. Il m’était difficile de lui dire que nous voulions le faire qu’avec un homme. Nous avons discutés ensemble de choses et d’autres. Il faisait très chaud. Maeva était en sueur bien sur comme moi. La femme proposa a Maeva de l’accompagner dans l’alcôve que son mari venait de louer pour qu’elle se repose un moment. Elle insista disant qu’elle pourrait se reposer un moment en toute tranquillité. Faire du sauna est fictivement quelque chose de très fatigant.
Maeva m’interrogea du regard. Je n’y voyais bien sur aucune objection. Elles se sont levées, me laissant seul avec le type.
Le type, est venu prendre la place de Maeva à mes côtés. Nous avons discuté un peu avant que lui aussi me propose de venir me reposer dans une alcôve. Ayant envoyé Maeva avec sa femme je ne pouvais guerre refuser son invitation. Nous sommes sortis du sauna, et avons circulé dans le couloir cherchant une alcôve de libre. Elles l’étaient toutes, il me montra le petit couloir ou était parti les femmes. Nous nous sommes allongés l’un a côté de l’autre. Restant silencieux un moment, puis il me posa quelques questions sur ma femme, son âge, son prénom, d’ou elle venait, comment je l’avais connue et depuis combien de temps étions nous marié. Il me dit qu’elle était ravissante et jolie. Il me demanda si je désirais vraiment la voir dans les bras d’un autre homme. Si cela m’exciterais que cela soit lui. Et de la savoir dans les bras d’une autre femme… de sa femme.
J’étais excité par ses propos et ses suggestions. Et aussi le fait qu’il se soit penché sur moi et me tenait par les épaules. J’étais complètement largué. Je venais de saisir son manège et de comprendre la situation. Il murmurait qu’elles étaient en ce moment en train de faire l’amour.
Tout en me parlant, il cherchait à m’embrasser. Il me caressait les cuisses, le corps. Je ne savais que dire que penser. Je n’osais le croire, et le voulais de tout mon cœur. Il me touchait doucement. Je bandais pour la première fois sous la caresse d’un homme. Je me taisais et écoutais ce qu’il disait tout bas pour m’exciter encore plus.
Il me fit remarquer que cela faisait plus de dix minutes qu’elles étaient parti. Que si cela n’avait pas marché entre elles, ma femme serait déjà revenue. La porte du couloir privé était toute proche.
Ils nous avaient remarqués à l’extérieur du club. Tout les deux avaient flaché sur Maeva avent de s’apercevoir que nous aussi nous nous rendions au sauna. Je fermais les yeux pour visualiser ce qu’il me racontait. Qu’elles étaient nues, l’une contre l’autre. Que chacune connaissaient maintenant le gout des lèvres de la sueur de l’autre. Je sentais qu’il ouvrait ma serviette. Je gardais les yeux clos. Je me demandais pourquoi ils avaient agis ainsi. Je me sentais profondément frustré. Mon rêve le plus cher, mon fantasme le plus érotique le plus fou se déroulait à quelque mètre de moi sans que je puisse le vivre. J’aurais voulu être avec elle, la voir, l’entendre l’aider pouvoir lui tenir la main. Mais son épouse voulait être seule. Elle préférait être seule avec des jeunes femmes. Et au lieu de cela je me retrouvais dans les bras du mari. Pour Maeva comme pour moi c’était une grande première. Plus tard si nous le voulions toujours, me disait-il.
Il me tenait et me serrait doucement dans sa main, il cherchait mes lèvres, et murmurait toujours. Elle se fait branler en ce moment la jolie Maeva…comme toi. Comme toi, je suis sur qu’elle aime… Comme toi elle se laisse faire… Elle va se faire lécher. Il me demandait si elle aimait ça ? Oui elle adorait que je lui fasse.
Je m’attendais à chaque instant la voir, à l’entendre surgir en trombe. J’en avais peur et le redoutais. Comme si il lisait dans mes pensées, il me disait tout bas "Ne t’inquiète pas". Elle prend son pied ta jolie petite femme.
De l’imaginer en ce moment avec une autre femme. Et son mari m’embrassait, léchait les gouttes de sueurs dans mon cou. Il me caressait doucement. Me racontait tout bas ce qu’elles faisaient toutes les deux.
Nous ne pouvions plus les rejoindre. Le couloir était fermé à clé. Cela ne prendrait plus beaucoup de temps maintenant. De toute façon sa femme ne voulait pas. Elles sont l’une contre l’autre maintenant, bouche contre bouche. Elles se font l’amour en frottant doucement leur corps, leurs seins, leur ventre. Elle la serre très fort contre elle. Elle va jouir en frottant sa chatte contre la sienne, contre ses jolies cuisses. J’imaginais, je devenais fou.
Je me laissais faire. Je l’écoutais. Cela n’avait plus aucune importance qu’une personne homme ou femme rentre. Que même Maeva rentre et me voit. Je n’en pouvais plus. Il faisait durer le plaisir stoppant sa caresse alors que j’étais au bord de l’orgasme, j’étais en sueur. Il me disait que lui aussi, elle le faisait bander, lui aussi aimerait la tenir, la forcer « ce la faire ». Qu’il aimerait la baiser, la faire jouir. Il s’est penché sur moi, et ses lèvres ont entouré mon sexe, j’étais si excité qu’au bout de quelques secondes j’ai jouie dans sa bouche.
Je suis resté un long moment sans pouvoir comprendre, sans pouvoir faire le moindre geste. Il me regardait. Il me disait qu’elle aussi devait jouir en ce moment. Il s’est levé me disant et m’invitant à le suivre pour prendre une douche froide. Plus tard, assis au bar. Je n’arrivais pas à croire la réalité de ce qui ce passé en ce moment. Que Maeva elle si timide, si réservée était depuis trois quart d’heure dans les bras d’une autre femme qui aurait pu être sa mère. Et que je sortais de ceux de son mari.
Je trouvais le temps long. Elles ne revenaient toujours pas. Il me dit de ne pas m’inquiéter que certainement elles avaient fini maintenant… et se reposaient l’une contre l’autre. Qu’elles avaient une heure de location de l’alcôve. Effectivement au bout de longues minutes elles sont sorties. Maeva se dirigea vers les douches sans un regard. Sa femme qui nous avait vus, vient nous rejoindre et donna à son époux la clé qu’il devait rendre pour ne pas avoir à payer une heure de plus. Elle lui donna en plus la petite culotte blanche de Maeva qui était mouillée de sueur.
– Tiens garde en souvenir. Dit-elle. S’adressant à moi elle me dit.
- Votre femme est délicieuse… dans tous les sens du terme. Timide un peu au début, mais je ne déteste pas.
Elle alla rejoindre Maeva sous la douche. Le mari rendit la clé et vient me chercher pour rejoindre les femmes. Il tenait la petite culotte en boule dans sa main. Et de le voir la porter à son visage pour en respirer l’odeur m’excitait. Maeva était sous la douche, les cheveux lâchés. Elle était belle. La femme à ses côtés l’aidait à se savonner. Elle nous tournait le dos, et nous montrait ses jolies fesses. Ou, n’osait pas soutenir mon regard. Elle avait un visage impassible. Je ne savais pas ce qu’elle pensait. En nous séchant, je lui demandais si elle allait bien. Un petit oui fut sa réponse. Le type la regardait avec des yeux gourmands. C’est sa femme qui lui dit qu’elle était fatiguée.
Ils nous accompagnèrent dans les vestiaires. Nous nous sommes rhabillés chacun de notre côté. Elle dut enfiler son collant sans la petite culotte qui était de toute façon trempée de sueur et que gardait le Monsieur.
Ils nous invitèrent à boire un dernier verre à l’extérieur. Je ne n’osais pas lui parler devant eux. Je lui prenais la main. Elle était comme a l’ordinaire, et ne semblait pas m’en vouloir. Au bistrot, il sortit de son sac la petite culotte et la porta de nouveau en boule à son visage en regardant dans les yeux ma femme qui rougissait. Sa femme lui demanda d’arrêter de l’ennuyer. Puis s’adressant à elle, elle lui demanda si cela allait. Plus bas elle dit qu’elle avait beaucoup appréciée de passer un moment avec elle. Faisant remarquer que cela n’avait pas été aussi pénible que cela, qu’elle aussi avait appréciée ses instants.
Maeva rougissait de plus en plus et n’osait pas croiser et soutenir mon regard. J’avais mille questions à lui poser, mais je voulais bien sur être seul avec elle. La femme s’adressa à son mari à voix basses. Puis, elle nous proposa de rester ensemble encore un peu, de louer une chambre d’hôtel. Ou alors de venir chez eux pour le reste de la journée, voir la nuit, mais ils habitaient Aix-en-Provence.
Je ne pouvais bien sur pas prendre de décision seul. Je demandais à ma femme de venir avec moi un peu plus loin pour que l’on en discute. Je la prenais dans mes bras et lui demandais à voix basse si cela allait bien. Si cela c’était bien passé avec elle. Le regard et le sourire qu’elle me rendit me soulagea. Un petit « un, un » était agréable à entendre. Je n’osais pas lui dire ma propre expérience. Je lui demandais si elle voulait aller plus loin. Elle n’osait pas répondre. Faisait la moue. Puis me dit qu’elle ne voulait pas aller jusqu'à Aix-en-Provence maintenant.
A ce moment, la femme qui elle aussi discutait avec son mari nous interpela pour nous dire qu’elle ne verrait aucun inconvénient à nous laisser seul avec son mari. Qu’elle devait faire des courses a Marseille et que de toute façon nous étions certainement appelés a nous revoir.
J’attendais une réponse de Maeva. Je savais qu’elle ne me la donnerait pas. Elle me sera dans ses bras et murmura « fais comme tu veux », « c’est toi qui décide ». Je lui murmurais à l’oreille que le type la désirait vraiment. Nous sommes revenus à la table du bistrot. Je voulais la voir dans les bras d’un homme, de cet homme…
Nous avons laissées les voitures en stationnement et avons pris un taxi avec le mari uniquement. Nous devions nous retrouver au même endroit d’ici une heure ou deux avec sa femme. Il paya le taxi et la chambre d’hôtel. Depuis le départ nous n’avions pas échangé le moindre mot. Je serrais très fort la main de ma femme, l’ascenseur, le couloir interminable, la porte, la chambre avec ce lit immense.
Il fermait les rideaux, je la prenais dans mes bras. Premier baiser depuis une éternité. A ses yeux, son regard je voyais qu’elle était nerveuse, un peu anxieuse. Il se déshabillait entièrement dans son dos. Je prenais ses lèvres une nouvelle fois. Nu, il s’est approché elle dans son dos. Il la tenait par les épaules. Il caressait les épaules, les bras les hanches. Puis il a soulevée sa robe la faisant passer sur sa tête. Elle tremblait un peu, n’était pas si rassurée. Il a dégrafé le soutien-gorge. Je l’aidais à l’en débarrasser. Je la serrais contre moi. Je sentais les mains du type collé dans son dos venir sur ses seins, les presser un moment avant de descendre sur les hanches.
Elle avait la bouche entrouverte et les yeux fermés. Elle respirait plus rapidement. Ses mains son venues entre nous au bas de son ventre. Je sentais contre moi qu’il la caressait à travers le fin collant. Elle avait plus tôt de nouveau relevés ses cheveux sur la tête. Il avait le visage dans son cou. Il l’embrassait, la mordait doucement respirait l’odeur de sa nuque de ses cheveux. Je bandais aussi en ressentant ses doigts bougeaient entre moi et elle sur son sexe. Elle gémissait tout bas. Elle me tenait. Avait du mal à se tenir debout seule. Il l’a poussée doucement vers le lit. L’aidant à s’allonger. Il est venu dans son dos. Il est resté collé à elle dans son dos. Elle avait toujours son collant en voile noir sur elle. Ils étaient allongé sur le coté. Je pouvais voir qu’il le désirait très fort. Elle, pouvait le sentir sur ses reins, ses fesses. Il bandait contre elle. Il l’a masturbée un très long moment à travers le voile du collant.
Elle avait les yeux fermés et serrait le couvre lit dans sa main. Il semblait être sur de lui. Il la regardait et lui léchait le cou. Il bougeait ses doigts doucement de bas en haut. Cela devait lui être très agréable car elle gémissait, ronronnait doucement.
Puis, il a baissé son collant juste ce qu’il fallait, dégageant uniquement les fesses. Elle a relevés les genoux, et s’est penché sur l’avant. Il a pris son sexe et l’a guidé sous le collant. Je me suis agenouillé sur le sol devant elle et je lui ai pris les mains. Elle a gardés les yeux ouverts tout le temps. J’ai pus voir son regard, ses yeux au moment ou il la pénétrait, ou il s’enfonçait dans son ventre. Puis, ce qu’elle ressentait. J’ai pus suivre sur son visage, dans ses yeux la monté de son plaisir. Elle semblait souffrir de temps en temps, elle était vraiment belle. Je lui disais que je l’aimais. Elle avait de petits gémissements, de petites plaintes qui sortaient de sa bouche entrouverte au même rythme qu’il lui imposait. Il lui serrait les seins, ou la tenait par les hanches, il lui mordait l’épaule. Elle me serrait très fort les mains. Des fois j’avais l’impression qu’il voulait réellement lui faire mal, la faire souffrir. Il venait en elle de façon brutale, la maintenait sur le lit. Il était sur elle, et elle presque allongée sur le ventre, soumise a son désir.
Puis, enfin la voir l’entendre jouir avec un autre homme dans son corps dans son ventre. La voir se donner, s’abandonner. Voir sa bouche ouverte, voir ses yeux à ce moment précis, la voir ce crisper a était un des plus beaux moments de ma vie. L’entendre gémir, entendre sa respiration à ce moment. Et voir le visage du type contre elle lui aussi qui semblait souffrir, jouir dans son corps.
Ils sont restés un long moment sans bouger. Elle semblait endormie. Puis, il c’est dégagé d’elle doucement. Laissant sur ses fesses, le collant le lit une épaisse trace blanche et odorante de sperme. Il est resté contre elle, la main sur le bras ou les hanches. Elle était épuisée. Il parlait à voix basse disant que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi jolie femme. Doucement elle est revenue à la réalité. Elle c’est levée sans un mot et a filée dans la salle de bain non sans avoir récupéré sa robe et son soutien-gorge. Nous l’entendions prendre sa douche. Lorsqu’elle est revenue, elle avait remis sa robe mais sans ses collants qui étaient tachés.
Plus tard de retour avec sa femme, ayant remarqué qu’elle aimait les jolis sous-vêtements et qu’elle avait bien involontairement perdu définitivement sa petite culotte qui était considérée comme une prise de guerre. Elle lui offrit un cadeau qui s’avérait être un magnifique ensemble slip et soutien gorge en voile transparent blanc, d’une très grande marque. Lui disant qu’elle devrait le porter a notre prochaine rencontre si elle avait lieu et que nous le désirerions bien sur. Elle rouspéta son mari et l’excusa pour les collants. Voulant même aller de suite en acheter une autre paire, ainsi qu’une petite culotte pour rentrer, car sous sa jupe elle était maintenant nue. Nous avons refusé, ce n’était pas si grave que cela.
Elle nous demanda si cela c’était bien passé. Demanda à son mari comment il trouvait Maeva. Pour eux elle était très jolie et ils avaient hâte de nous revoir. Bien sur plus ici au sauna mais plutôt chez eux à Aix-en-Provence. Nous avons échangé nos numéros de téléphone avant de nous séparer.
Je n’osais pas poser de questions trop précises à Maeva durant le trajet de retour sur Toulon. Elle me disait simplement qu’elle ne regrettait pas cette expérience. Chez nous nous sommes jeté sur notre lit sans même nous déshabillés tant nous étions excité. Les jours suivant nous faisions l’amour avec plus de vigueur encore je crois que les fois précédentes. Nous remémorant souvent les moments de cette journée. Je savais maintenant les moments qu’elle avait vécus dans cette alcôve sordide.
C’est eux qui nous on recontacté. Nous ne voulions pas le refaire de suite. Nous ne voulions plus nous rendre dans un sauna aussi lugubre. C’est je crois au moins deux mois plus tard que nous avons accepté leur invitation chez eux.
Voilà le récit réel de notre toute première expérience libertine. Nous en gardons toujours un très agréable souvenir. Bien sur c’est avec beaucoup de plaisirs que je raconterais nos autres expériences si cette histoire reçoit un accueil chaleureux.
Ceci est l’histoire vraie de notre toute première expérience libertine de couple Maeva mon épouse et moi même.
Nous sommes mariés depuis bien longtemps maintenant. Maeva est une jolie Tahitienne que j’ai connue lors de mes nombreux séjours en Polynésie, comme militaire. Au début de notre mariage, comme beaucoup d’homme, je fantasmais sur ma femme. L’imaginant avec d’autres, dans des situations les plus inavouables et invraisemblables. Nous avions tous les deux beaucoup de fantasmes. Elle aimait partager et jouer à nos jeux intimes. Il lui arrivait de porter une perruque et d’accepter d’être menottée ou d’avoir les yeux bandés. Le viol simulé, la visite médicale, l’exhibition étaient les scénarios que nous aimions.
L’idée d’associer réellement et non plus en imaginations d’autres personnes, d’autres hommes à nos jeux, est vite devenu un sujet de discutions brulantes entre nous deux. Il n’a pas été aisé de la convaincre. Le soir dans notre lit, elle voulait bien. Mais se rétractait le lendemain matin. Elle mettait des conditions démesurées pour le faire. Bien sur et je le comprenais, il était hors de question de le faire chez nous. Souvent seule a la maison, elle aurait pus être importunée durant mes absences par un de nos invités qui serait revenu.
Nous habitions Toulon à cette époque. Et nous ne voulions pas prendre le risque de nous retrouver avec une ou des personnes susceptibles de nous connaître de près comme de loin. C’était donc Marseille qui a eu notre préférence. Il n'a pas été trop compliqué de trouver des lieux d’échanges, de rencontres. Plusieurs demandes de renseignements par téléphone ont été toute fois nécessaires avant de faire notre choix. Les choix, en plus étaient pour le moins limité. Deux ou trois saunas qui organisaient des rencontres entre couple certains après midi ou certaines soirées. Autrement nous devions chercher et répondre à des petites annonces souvent mensongères. Ce qui était plus frustrant.
Nous nous sommes enfin décidé pour un sauna. Avec Maeva, nous étions excités de préparer ce moment. Nous l’avons vécu plusieurs fois dans nos têtes les jours précédant. Nous ne voulions pas le faire le soir ou la nuit, car on nous avait dit qu’il risquait d’y avoir trop de monde. On nous avait conseillé de venir pour une première fois un après midi de préférence en semaine. Tout était en fonction de ce que nous recherchions.
Maeva est très jolie, elle a le type Polynésien bien sur, elle est magnifique. De longs cheveux noirs souvent retenus par un chignon. Un visage agréable à regarder, toujours souriante, un corps toujours splendide. Une couleur de peau pain d’épices, et miel.
Elle était déjà très élégante. Aimait s’habiller et choisir ses vêtements et sous-vêtements avec soins et beaucoup de gout. Ils nous arrivaient de choisir ensemble sa lingerie dans des magasins spécialisés. Nos préférences ont souvent été les couleurs clairs ou pastels, ou les ensembles en voile et dentelle blanche ou noir aussi.
J’avais du prendre un jour de congé. Durant le trajet, le matin nous étions pour le moins anxieux. Nous nous répétions ce que nous accepterions et ce que nous refuserions. Il était évident qu’il ne ce passerait rien si cela ne nous convenait pas. Nous avions confiance l’un dans l’autre. Jamais je ne l’aurais forcée à faire quoi que ce soit avec une personne qui ne lui convenait pas. Pour cette toute première fois nous voulions trouver un homme pas trop vieux, pas trop moche, propre et gentil. Rien ne s’est passé comme nous le souhaitions.
Nous avons déjeuné à Marseille dans un petit restaurant proche du lieu de rendez vous qui se trouvait dans une toute petite rue tout en haut de la canebière. Nous n’avions pas vraiment faim. Mais il fallait bien attendre l’ouverture, et nous ne voulions pas arriver les premiers.
Le responsable qui était certainement homosexuel nous a informé des conditions et nous a fourni deux serviettes de bain propres mais rêches, tant elles avaient du être lavées, ainsi qu’une clé et un cadenas me semble-t-il.
L’endroit, était sordide. Glauque, sombre. De nombreux couloirs étroits desservaient de minuscules alcôves qui fermaient par de simples rideaux. Un matelas en mousse posé sur le sol, recouvert d’un drap douteux en était le seul objet présent. A l’étage, une immense pièce recouverte de matelas devait être un lieu de débauche sans retenu. Une ou deux cabines de sauna étaient en fonction, des douches, un vestiaire avec plusieurs caissons pour ranger nos vêtements. Il y avait aussi un bar avec une télévision qui diffusait des films pornographiques homosexuels. C’était sordide. Il n’y avait pas grand monde, cinq ou six personnes, que des hommes d’âges divers mais qui semblaient tous être homo. Ils déambulaient allant d’un endroit à l’autre uniquement drapé d’une serviette de bain. Je me souviens un moment d’avoir croiser un homme d’âge mur qui tenait par la main un jeune qui devait avoir dix huit ans à peine. Je n’étais pas trop enthousiasmé, Maeva encore moins. J’avais honte de l’avoir entrainée dans un endroit pareil. Nous venions de payer et nous étions dans le vestiaire. Nous, nous parlions à voix basses. Nous demandons quelle attitude prendre, partir ou rester. Maeva n’était pas très chaude de rester. Mais, malgré le peu d’engagement que donnait le lieu, c’était excitant de ce trouver la, de voir ma femme dans cet endroit. Je l’encourageais lui disant, que nous le regretterions peut-être si nous partions de suite et n’oserions plus jamais revenir. Cela ne nous engagés a rien de voir plus loin. Nous nous sommes déshabillés et enveloppés le corps de la serviette que l’on nous avait donnée. Maeva la portait attachée au dessus de la poitrine et moi autour de la taille. Je me souviens, qu’elle voulait et avait gardée sa petite culotte. Moi, j’étais nu dessous ma serviette. Nous sommes sortis du vestiaire après avoir bien sur enfermés à clé nos vêtements.
Il y avait de la musique douce en sourdine. Nous sommes rentrés dans un des deux saunas qui étaient vide. Nous nous sommes assis l’un a coté de l’autre les jambes allongés sur le banc. Il faisait chaud bien sur. Nous avions décidé de rester au sauna une trentaine de minutes et de partir après avoir pris une douche si rien ne se passait.
Au bout d’une dizaine de minutes, un couple est rentré. Je ne pourrais pas dire à ce moment s’ils étaient dans le club avant nous ou s’ils venaient de rentrer. Lui avait la soixantaine, grand, les cheveux clairs tirés en arrière, maigre et très bronzé. Elle semblait plus jeune, avait peu être cinq ou six ans de moins, les cheveux clairs, petite et mince bronzée aussi. J’ai pensé de suite qu’ils devaient être mari et femme, comme nous. Ils se sont assis et de suite elle a baissée sa serviette sur les hanches dévoilant une petite poitrine qui tombait. Maeva pudique et timide avait gardée la sienne autour de son corps. Ils se sont adressés à nous et nous avons sympathisés. Nous leur avons avoué que c’était notre toute première fois que nous nous rendions dans ce genre d’endroit. Ils nous on mit au courant des us et coutumes de l’endroit. Des dangers, de ce qu’il fallait faire et ne pas faire.
Ils nous ont indiqué qu’il y avait beaucoup d’homosexuels en semaine. Que bien sur il était préférable de venir lors des soirées organisées. La femme demanda à son mari d’aller cherchée pour une heure la clé d’une alcôve privée. Elle nous expliqua ensuite, qu’il existait aussi quatre ou cinq petites alcôves dans lesquelles nous pouvions nous enfermer. Elles étaient rassemblées dans un couloir qui lui aussi fermait a clé. C’était beaucoup mieux pour s’y reposer et y être tranquille. Alors que dans celles qui fermaient par de simples rideaux nous étions sur d’être continuellement dérangés. Les alcôves privées étaient bien sur payantes et se louaient à l’heure.
Le type est revenu avec les clés. Avec Maeva nous étions convenus de rester encore une quinzaine de minutes et de partir après une douche. De temps en temps, un homme rentrait et s’asseyait, il restait quelques minutes et ressortait. La femme nous dit que pour être tranquille, je ne devais pas emmener Maeva dans une des alcôves qui fermait avec un rideau et encore moins dans la pièce du haut. A moins bien sur d’en accepter les conséquences. Il m’était difficile de lui dire que nous voulions le faire qu’avec un homme. Nous avons discutés ensemble de choses et d’autres. Il faisait très chaud. Maeva était en sueur bien sur comme moi. La femme proposa a Maeva de l’accompagner dans l’alcôve que son mari venait de louer pour qu’elle se repose un moment. Elle insista disant qu’elle pourrait se reposer un moment en toute tranquillité. Faire du sauna est fictivement quelque chose de très fatigant.
Maeva m’interrogea du regard. Je n’y voyais bien sur aucune objection. Elles se sont levées, me laissant seul avec le type.
Le type, est venu prendre la place de Maeva à mes côtés. Nous avons discuté un peu avant que lui aussi me propose de venir me reposer dans une alcôve. Ayant envoyé Maeva avec sa femme je ne pouvais guerre refuser son invitation. Nous sommes sortis du sauna, et avons circulé dans le couloir cherchant une alcôve de libre. Elles l’étaient toutes, il me montra le petit couloir ou était parti les femmes. Nous nous sommes allongés l’un a côté de l’autre. Restant silencieux un moment, puis il me posa quelques questions sur ma femme, son âge, son prénom, d’ou elle venait, comment je l’avais connue et depuis combien de temps étions nous marié. Il me dit qu’elle était ravissante et jolie. Il me demanda si je désirais vraiment la voir dans les bras d’un autre homme. Si cela m’exciterais que cela soit lui. Et de la savoir dans les bras d’une autre femme… de sa femme.
J’étais excité par ses propos et ses suggestions. Et aussi le fait qu’il se soit penché sur moi et me tenait par les épaules. J’étais complètement largué. Je venais de saisir son manège et de comprendre la situation. Il murmurait qu’elles étaient en ce moment en train de faire l’amour.
Tout en me parlant, il cherchait à m’embrasser. Il me caressait les cuisses, le corps. Je ne savais que dire que penser. Je n’osais le croire, et le voulais de tout mon cœur. Il me touchait doucement. Je bandais pour la première fois sous la caresse d’un homme. Je me taisais et écoutais ce qu’il disait tout bas pour m’exciter encore plus.
Il me fit remarquer que cela faisait plus de dix minutes qu’elles étaient parti. Que si cela n’avait pas marché entre elles, ma femme serait déjà revenue. La porte du couloir privé était toute proche.
Ils nous avaient remarqués à l’extérieur du club. Tout les deux avaient flaché sur Maeva avent de s’apercevoir que nous aussi nous nous rendions au sauna. Je fermais les yeux pour visualiser ce qu’il me racontait. Qu’elles étaient nues, l’une contre l’autre. Que chacune connaissaient maintenant le gout des lèvres de la sueur de l’autre. Je sentais qu’il ouvrait ma serviette. Je gardais les yeux clos. Je me demandais pourquoi ils avaient agis ainsi. Je me sentais profondément frustré. Mon rêve le plus cher, mon fantasme le plus érotique le plus fou se déroulait à quelque mètre de moi sans que je puisse le vivre. J’aurais voulu être avec elle, la voir, l’entendre l’aider pouvoir lui tenir la main. Mais son épouse voulait être seule. Elle préférait être seule avec des jeunes femmes. Et au lieu de cela je me retrouvais dans les bras du mari. Pour Maeva comme pour moi c’était une grande première. Plus tard si nous le voulions toujours, me disait-il.
Il me tenait et me serrait doucement dans sa main, il cherchait mes lèvres, et murmurait toujours. Elle se fait branler en ce moment la jolie Maeva…comme toi. Comme toi, je suis sur qu’elle aime… Comme toi elle se laisse faire… Elle va se faire lécher. Il me demandait si elle aimait ça ? Oui elle adorait que je lui fasse.
Je m’attendais à chaque instant la voir, à l’entendre surgir en trombe. J’en avais peur et le redoutais. Comme si il lisait dans mes pensées, il me disait tout bas "Ne t’inquiète pas". Elle prend son pied ta jolie petite femme.
De l’imaginer en ce moment avec une autre femme. Et son mari m’embrassait, léchait les gouttes de sueurs dans mon cou. Il me caressait doucement. Me racontait tout bas ce qu’elles faisaient toutes les deux.
Nous ne pouvions plus les rejoindre. Le couloir était fermé à clé. Cela ne prendrait plus beaucoup de temps maintenant. De toute façon sa femme ne voulait pas. Elles sont l’une contre l’autre maintenant, bouche contre bouche. Elles se font l’amour en frottant doucement leur corps, leurs seins, leur ventre. Elle la serre très fort contre elle. Elle va jouir en frottant sa chatte contre la sienne, contre ses jolies cuisses. J’imaginais, je devenais fou.
Je me laissais faire. Je l’écoutais. Cela n’avait plus aucune importance qu’une personne homme ou femme rentre. Que même Maeva rentre et me voit. Je n’en pouvais plus. Il faisait durer le plaisir stoppant sa caresse alors que j’étais au bord de l’orgasme, j’étais en sueur. Il me disait que lui aussi, elle le faisait bander, lui aussi aimerait la tenir, la forcer « ce la faire ». Qu’il aimerait la baiser, la faire jouir. Il s’est penché sur moi, et ses lèvres ont entouré mon sexe, j’étais si excité qu’au bout de quelques secondes j’ai jouie dans sa bouche.
Je suis resté un long moment sans pouvoir comprendre, sans pouvoir faire le moindre geste. Il me regardait. Il me disait qu’elle aussi devait jouir en ce moment. Il s’est levé me disant et m’invitant à le suivre pour prendre une douche froide. Plus tard, assis au bar. Je n’arrivais pas à croire la réalité de ce qui ce passé en ce moment. Que Maeva elle si timide, si réservée était depuis trois quart d’heure dans les bras d’une autre femme qui aurait pu être sa mère. Et que je sortais de ceux de son mari.
Je trouvais le temps long. Elles ne revenaient toujours pas. Il me dit de ne pas m’inquiéter que certainement elles avaient fini maintenant… et se reposaient l’une contre l’autre. Qu’elles avaient une heure de location de l’alcôve. Effectivement au bout de longues minutes elles sont sorties. Maeva se dirigea vers les douches sans un regard. Sa femme qui nous avait vus, vient nous rejoindre et donna à son époux la clé qu’il devait rendre pour ne pas avoir à payer une heure de plus. Elle lui donna en plus la petite culotte blanche de Maeva qui était mouillée de sueur.
– Tiens garde en souvenir. Dit-elle. S’adressant à moi elle me dit.
- Votre femme est délicieuse… dans tous les sens du terme. Timide un peu au début, mais je ne déteste pas.
Elle alla rejoindre Maeva sous la douche. Le mari rendit la clé et vient me chercher pour rejoindre les femmes. Il tenait la petite culotte en boule dans sa main. Et de le voir la porter à son visage pour en respirer l’odeur m’excitait. Maeva était sous la douche, les cheveux lâchés. Elle était belle. La femme à ses côtés l’aidait à se savonner. Elle nous tournait le dos, et nous montrait ses jolies fesses. Ou, n’osait pas soutenir mon regard. Elle avait un visage impassible. Je ne savais pas ce qu’elle pensait. En nous séchant, je lui demandais si elle allait bien. Un petit oui fut sa réponse. Le type la regardait avec des yeux gourmands. C’est sa femme qui lui dit qu’elle était fatiguée.
Ils nous accompagnèrent dans les vestiaires. Nous nous sommes rhabillés chacun de notre côté. Elle dut enfiler son collant sans la petite culotte qui était de toute façon trempée de sueur et que gardait le Monsieur.
Ils nous invitèrent à boire un dernier verre à l’extérieur. Je ne n’osais pas lui parler devant eux. Je lui prenais la main. Elle était comme a l’ordinaire, et ne semblait pas m’en vouloir. Au bistrot, il sortit de son sac la petite culotte et la porta de nouveau en boule à son visage en regardant dans les yeux ma femme qui rougissait. Sa femme lui demanda d’arrêter de l’ennuyer. Puis s’adressant à elle, elle lui demanda si cela allait. Plus bas elle dit qu’elle avait beaucoup appréciée de passer un moment avec elle. Faisant remarquer que cela n’avait pas été aussi pénible que cela, qu’elle aussi avait appréciée ses instants.
Maeva rougissait de plus en plus et n’osait pas croiser et soutenir mon regard. J’avais mille questions à lui poser, mais je voulais bien sur être seul avec elle. La femme s’adressa à son mari à voix basses. Puis, elle nous proposa de rester ensemble encore un peu, de louer une chambre d’hôtel. Ou alors de venir chez eux pour le reste de la journée, voir la nuit, mais ils habitaient Aix-en-Provence.
Je ne pouvais bien sur pas prendre de décision seul. Je demandais à ma femme de venir avec moi un peu plus loin pour que l’on en discute. Je la prenais dans mes bras et lui demandais à voix basse si cela allait bien. Si cela c’était bien passé avec elle. Le regard et le sourire qu’elle me rendit me soulagea. Un petit « un, un » était agréable à entendre. Je n’osais pas lui dire ma propre expérience. Je lui demandais si elle voulait aller plus loin. Elle n’osait pas répondre. Faisait la moue. Puis me dit qu’elle ne voulait pas aller jusqu'à Aix-en-Provence maintenant.
A ce moment, la femme qui elle aussi discutait avec son mari nous interpela pour nous dire qu’elle ne verrait aucun inconvénient à nous laisser seul avec son mari. Qu’elle devait faire des courses a Marseille et que de toute façon nous étions certainement appelés a nous revoir.
J’attendais une réponse de Maeva. Je savais qu’elle ne me la donnerait pas. Elle me sera dans ses bras et murmura « fais comme tu veux », « c’est toi qui décide ». Je lui murmurais à l’oreille que le type la désirait vraiment. Nous sommes revenus à la table du bistrot. Je voulais la voir dans les bras d’un homme, de cet homme…
Nous avons laissées les voitures en stationnement et avons pris un taxi avec le mari uniquement. Nous devions nous retrouver au même endroit d’ici une heure ou deux avec sa femme. Il paya le taxi et la chambre d’hôtel. Depuis le départ nous n’avions pas échangé le moindre mot. Je serrais très fort la main de ma femme, l’ascenseur, le couloir interminable, la porte, la chambre avec ce lit immense.
Il fermait les rideaux, je la prenais dans mes bras. Premier baiser depuis une éternité. A ses yeux, son regard je voyais qu’elle était nerveuse, un peu anxieuse. Il se déshabillait entièrement dans son dos. Je prenais ses lèvres une nouvelle fois. Nu, il s’est approché elle dans son dos. Il la tenait par les épaules. Il caressait les épaules, les bras les hanches. Puis il a soulevée sa robe la faisant passer sur sa tête. Elle tremblait un peu, n’était pas si rassurée. Il a dégrafé le soutien-gorge. Je l’aidais à l’en débarrasser. Je la serrais contre moi. Je sentais les mains du type collé dans son dos venir sur ses seins, les presser un moment avant de descendre sur les hanches.
Elle avait la bouche entrouverte et les yeux fermés. Elle respirait plus rapidement. Ses mains son venues entre nous au bas de son ventre. Je sentais contre moi qu’il la caressait à travers le fin collant. Elle avait plus tôt de nouveau relevés ses cheveux sur la tête. Il avait le visage dans son cou. Il l’embrassait, la mordait doucement respirait l’odeur de sa nuque de ses cheveux. Je bandais aussi en ressentant ses doigts bougeaient entre moi et elle sur son sexe. Elle gémissait tout bas. Elle me tenait. Avait du mal à se tenir debout seule. Il l’a poussée doucement vers le lit. L’aidant à s’allonger. Il est venu dans son dos. Il est resté collé à elle dans son dos. Elle avait toujours son collant en voile noir sur elle. Ils étaient allongé sur le coté. Je pouvais voir qu’il le désirait très fort. Elle, pouvait le sentir sur ses reins, ses fesses. Il bandait contre elle. Il l’a masturbée un très long moment à travers le voile du collant.
Elle avait les yeux fermés et serrait le couvre lit dans sa main. Il semblait être sur de lui. Il la regardait et lui léchait le cou. Il bougeait ses doigts doucement de bas en haut. Cela devait lui être très agréable car elle gémissait, ronronnait doucement.
Puis, il a baissé son collant juste ce qu’il fallait, dégageant uniquement les fesses. Elle a relevés les genoux, et s’est penché sur l’avant. Il a pris son sexe et l’a guidé sous le collant. Je me suis agenouillé sur le sol devant elle et je lui ai pris les mains. Elle a gardés les yeux ouverts tout le temps. J’ai pus voir son regard, ses yeux au moment ou il la pénétrait, ou il s’enfonçait dans son ventre. Puis, ce qu’elle ressentait. J’ai pus suivre sur son visage, dans ses yeux la monté de son plaisir. Elle semblait souffrir de temps en temps, elle était vraiment belle. Je lui disais que je l’aimais. Elle avait de petits gémissements, de petites plaintes qui sortaient de sa bouche entrouverte au même rythme qu’il lui imposait. Il lui serrait les seins, ou la tenait par les hanches, il lui mordait l’épaule. Elle me serrait très fort les mains. Des fois j’avais l’impression qu’il voulait réellement lui faire mal, la faire souffrir. Il venait en elle de façon brutale, la maintenait sur le lit. Il était sur elle, et elle presque allongée sur le ventre, soumise a son désir.
Puis, enfin la voir l’entendre jouir avec un autre homme dans son corps dans son ventre. La voir se donner, s’abandonner. Voir sa bouche ouverte, voir ses yeux à ce moment précis, la voir ce crisper a était un des plus beaux moments de ma vie. L’entendre gémir, entendre sa respiration à ce moment. Et voir le visage du type contre elle lui aussi qui semblait souffrir, jouir dans son corps.
Ils sont restés un long moment sans bouger. Elle semblait endormie. Puis, il c’est dégagé d’elle doucement. Laissant sur ses fesses, le collant le lit une épaisse trace blanche et odorante de sperme. Il est resté contre elle, la main sur le bras ou les hanches. Elle était épuisée. Il parlait à voix basse disant que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi jolie femme. Doucement elle est revenue à la réalité. Elle c’est levée sans un mot et a filée dans la salle de bain non sans avoir récupéré sa robe et son soutien-gorge. Nous l’entendions prendre sa douche. Lorsqu’elle est revenue, elle avait remis sa robe mais sans ses collants qui étaient tachés.
Plus tard de retour avec sa femme, ayant remarqué qu’elle aimait les jolis sous-vêtements et qu’elle avait bien involontairement perdu définitivement sa petite culotte qui était considérée comme une prise de guerre. Elle lui offrit un cadeau qui s’avérait être un magnifique ensemble slip et soutien gorge en voile transparent blanc, d’une très grande marque. Lui disant qu’elle devrait le porter a notre prochaine rencontre si elle avait lieu et que nous le désirerions bien sur. Elle rouspéta son mari et l’excusa pour les collants. Voulant même aller de suite en acheter une autre paire, ainsi qu’une petite culotte pour rentrer, car sous sa jupe elle était maintenant nue. Nous avons refusé, ce n’était pas si grave que cela.
Elle nous demanda si cela c’était bien passé. Demanda à son mari comment il trouvait Maeva. Pour eux elle était très jolie et ils avaient hâte de nous revoir. Bien sur plus ici au sauna mais plutôt chez eux à Aix-en-Provence. Nous avons échangé nos numéros de téléphone avant de nous séparer.
Je n’osais pas poser de questions trop précises à Maeva durant le trajet de retour sur Toulon. Elle me disait simplement qu’elle ne regrettait pas cette expérience. Chez nous nous sommes jeté sur notre lit sans même nous déshabillés tant nous étions excité. Les jours suivant nous faisions l’amour avec plus de vigueur encore je crois que les fois précédentes. Nous remémorant souvent les moments de cette journée. Je savais maintenant les moments qu’elle avait vécus dans cette alcôve sordide.
C’est eux qui nous on recontacté. Nous ne voulions pas le refaire de suite. Nous ne voulions plus nous rendre dans un sauna aussi lugubre. C’est je crois au moins deux mois plus tard que nous avons accepté leur invitation chez eux.
Voilà le récit réel de notre toute première expérience libertine. Nous en gardons toujours un très agréable souvenir. Bien sur c’est avec beaucoup de plaisirs que je raconterais nos autres expériences si cette histoire reçoit un accueil chaleureux.
Ven 8 mai 2009
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