CA PLAIRA PAS à TOUT LE MONDE

Une étrange expérience sensuelle Comment un jeune homme androgyne découvrit un doux fétichisme pour le nombril.


C’était une fin d’après-midi pendant les vacances d’hiver. J’avais passé toute la journée à la maison à lire dans ma chambre ou à écouter de la musique dans le salon, profitant pleinement de toute cette journée d’oisiveté. J’étais habillé de manière assez débraillée, d’une paire de jeans moulants et d’un vieux t-shirt raccourci arbitrairement à la paire de ciseaux. J’avais 17 ans à cette époque, j’étais assez grand et imberbe, quasiment aucun poil n’avait poussé sur mon corps à l’exception du pubis. J’avais la peau extrêmement lisse et laiteuse, j’étais mince sans être maigre, j’avais d’ailleurs pas mal de chair au niveau des hanches et un ventre comme j’imaginais celui d’une fille mais en plus de tout ça, j’avais une taille un peu trop fine pour un garçon et par contraste des hanches beaucoup trop larges, les proportions de mon bassin me semblaient vraiment anormales. J’étais très pudique à cause de toutes ces particularités et des regards que je voyais souvent s’attarder sur moi; je faisais vaguement le lien et ça ne m’inquiétait que quand je me sentais en position de faiblesse, en général j’essayais de masquer le plus possible ces particularités. Voilà pour mon apparence physique de l’époque, je dois ajouter que je portais les cheveux très longs ce qui accentuait mon androgynie.
J’avais donc passé ce jour d’hiver affalé lascivement dans la chaleur de la maison que j’avais pour moi seul jusqu’à tard dans la soirée. On sonna à la porte alors que je n’attendais personne et que ma mère n’avait laissé aucun message indiquant que quelqu’un était susceptible de passer. J’allais à la porte et je reconnus un vieil ami de ma mère, Fabrice. Il était bouquiniste, un intime de la maison que je connaissais moi-même depuis quelques années. Je fréquentais sa librairie de temps à autre, il avait une caisse de bouquins dans les bras et me dit qu’il avait reçu l’après-midi même un arrivage dont certains ouvrages pourraient m’intéresser. Je l’invitais à entrer pour poser les bouquins. Je lui demandais s’il voulait un café, car j’allais m’en préparer. Il accepta et me suivit dans la cuisine. Il me regardait assez fixement ce qui me mit tout de suite mal à l’aise. Ce n’était pas la première fois que je remarquais ce regard posé sur moi, j’évitais d’y penser et allais chercher le café. Tandis que je me hissais sur la pointe des pieds pour le prendre, il était situé tout en haut d’une étagère, je surpris son regard posé au beau milieu de ma personne. En me jetant un coup d’oeil furtif je notais qu’en m’étirant pour atteindre la boîte de café mon t-shirt fort vieux et trop petit d’au moins deux taille avait largement découvert mon ventre. Honteux de cette exhibition involontaire et très gêné par ce regard qui continuait à se poser ostensiblement à ce niveau, je rentrai ouvertement et du mieux que je pouvais mon t-shirt alors même que je l’avais coupé trop court et me concentrais sur la préparation du café tout en me maudissant de ne pas m’être changé.

Comme je l’ai dit, j’avais toujours trouvé mon bassin un peu trop spectaculaire, j’en avais fait les frais je ne sais combien de fois à la piscine et j’évitais pour cette raison d’y aller. Les filles me regardaient d’un drôle d’air et pouffaient dans mon dos, quant aux garçons, ils étaient tellement étonnés et certains avaient tellement de mal à cacher leur intérêt que je ne préférais pas trop m’appesantir sur ce qu’ils pouvaient penser.
Pendant tout le temps de la préparation régna un silence assez pesant. Je regrettais de l’avoir invité à rester, je prenais conscience que j’étais vraiment trop débraillé et par dessus tout je ne pouvais m’empêcher de penser au regard que j’avais vu brillé dans les yeux de Fabrice. A la fin, le café étant prêt, je lui dis de me suivre au salon. Je m’installais sur le sofa, lui dans un fauteuil en face de moi. Je m’allongeais tout naturellement sur le côté, lui faisant face. Il buvait lentement son café et je remarquais qu’une fois de plus son regard, qui furetait un peu partout dans la pièce, marquait un temps à chaque fois qu’il passait sur moi. Me regardant je vis que dans cette position on voyait plus que jamais mon ventre. On voyait précisément une de mes hanches que j’ai bien rondes et un peu de mon bassin juste au dessous du nombril à un endroit où j’ai la peau particulièrement douce et pâle, mon nombril noir et allongé me donnait l’impression de faire de l’oeil à Fabrice. Un peu exaspéré par cet intérêt et ma stupidité de porter des vêtements mettant autant en valeur ce “défaut”, je ne cessais d’esssayer de remettre en place ce t-shirt.
Il finit par rompre le silence en me disant, visiblement embarrassé, “Tu sais que tu es assez androgyne?”, je lui répondis assez énervé mais désarçonné par la remarque, “Ouais, c’est possible et alors?”, il me répondit, “Ecoute, ne le prend pas mal, mais habillé comme tu l’es aujourd’hui, tu révèles toutes les particularités remarquables de ton physique, en fait pour tout te dire, je te trouve sexy” je ne répondis rien, interloqué, fixant ma tasse. Il poursuivit, “Tu as un vrai ventre de femme à ce que je peux voir, ta peau m’a l’air douce, tu n’as pas un poil et ton nombril est profond, vertical, vraiment bien dessiné, très joli à voir”. En bref, il avait mis le doigt ou plutôt les yeux exactement sur toutes ces particularités qui m’étaient vraiment une source de tracas. Il continua: “J’avais remarqué la finesse de ta taille en contraste avec la largeur de tes hanches, j’avais toujours souhaité les voir dénudées, tu sais j’aime beaucoup cette partie du corps, pas toi?” je lui dis, me sentant soudain bizarrement intrigué par ce discours que j’avais bien conscience de tout ça, et que je trouvais mon ventre et mon nombril bien trop féminins, mais que j’aimais beaucoup voir ceux des filles et qu’en fait il m’arrivait de rester devant le miroir pas mal de temps à observer mon bassin en me disant que même s’il me gênait je le trouvais pas mal et que j’y prenais même du plaisir. Il me dit: “Oui, tu aimes bien ceux des filles bien sûr et moi aussi, mais le tien est justement pareil aux plus beaux que j’ai pu voir, j’aimerais bien te toucher, est-ce que tu veux bien me laisser faire?”.
Excité par la curiosité d’être touché par quelqu’un d’autre que moi, en même temps que flatté, je lui répondis qu’après tout il pouvait essayer. Je m’étendis alors complètement sur le dos, relevant mes bras par dessus ma tête, laissant cette fois mon t-shirt remonter et dévoiler toute ma taille. Il s’approcha assez lentement dévorant des yeux ma peau et se décida à me caresser. Je me laissais assez vite aller au contact de ses doigts sur ma peau. Il les fit glisser dans le creux de ma taille, puis tout autour, sur toute la surface généreuse de cette partie de mon corps. Il finit par appliquer complètement ses paumes sur ma peau, puis il s’approcha de mon nombril il s’y attarda. Il me massait assez pesamment mais la sensation était très surprenante et totalement décontractante. Il tourna lentement et longuement en cercles concentriques autour de mon nombril, le regardant fixement, avant de peu à peu le cerner de son index et l’y faire très doucement pénétrer. Il humecta son doigt de sa salive et le replongea dans ce puits qui l’absorba. Mon nombril que je trouvais incroyablement profond était plus étiré que jamais dans cette position et il absorba une phalange complète de l’index de Fabrice, se refermant dessus. Fabrice fit tourner lentement son doigt, sentant cet orifice béant l’envelopper, il l’enfonça un peu plus contre le fond que je sentais bouger contre mes entrailles, résistant infailliblement à cette intrusion, innondant tout mon ventre d'une chaleur brûlante, irradiant dans tout mon bassin, m'hypnotisant. J'étais même un peu estomaqué du plaisir que tout çela me procurait et m’abandonnais un peu plus au fur et à mesure qu’il doigtait cet étrange orifice originel et fermé tout en continuant à palper, caresser, mes hanches, la peau de ma taille, mes côtes, jusqu’aux limites de ma cage thoracique. Je fermais les yeux de délice.

Tout à coup je sentis quelque chose d’humide et chaud, je regardai, il était maintenant en train de me lécher. Je trouvais ça encore meilleur et le laissais faire, ne trouvant rien à redire, m’enfonçant un peu plus dans le sofa. Après un temps assez long, il vint avec moi sur le vaste sofa, plongeant sa tête sur mon ventre, y enfouissant son nez, son visage. Il continuait à me lécher, mes côtes, la crête de mes hanches, il n’oubliait pas une seule portion de ma peau, je fondais tranquillement, me laissant complètement faire, plongé dans une torpeur complète. Il finit par s’allonger carrément contre moi, je me laissais complètement faire et lui laissais une place. Il se pressait contre moi, je sentais son souffle dans mon cou, je sentais aussi beaucoup plus bas contre mon bassin quelque chose grossir, mais je ne m’en inquiétais pas, mon pantalon était bien fermé et trop moulant pour pouvoir être retirer facilement, et puis la sensation de ce qui grossissait contre la chair de mon bassin me plaisait.
Je ne sais à quel moment cela arriva, ni combien de temps s’était écoulé, mais à un moment je sentis quelque chose de brûlant, lourd contre la peau de mon ventre. Un peu alarmé j’ouvris les yeux et vis qu’il avait sorti son sexe en pleine érection et qu’il se masturbait sur ma peau. Il était très excité, son sexe était assez imposant, épais et long, il le posait tout contre mon ventre, son gland bien décalotté allant jusqu’à buter contre mon nombril. Je fus stoppé net dans ma frayeur en découvrant que j’étais moi même extrêmement excité par ce mouvement et cette sensation, mon sexe s’était durci d’un coup. En fait je trouvais délicieuse cette nouvelle manière d’honorer mon ventre. Il pressait très fort sa queue durcie, imprimant des mouvements de va et vient, il la prenait dans une main et pointait son gland dans mon nombril dans lequel il le poussait inlassablement.
De toute façon ça ne dura pas très longtemps, il haletait un peu plus fort et je commençais à soupirer ouvertement, les yeux fermés, pressant mon bassin contre sa queue en réponse à ses mouvements. Devenant assez vite frénétique, il finit par éjaculer partout sur ma peau, me couvrant d’une chaude et épaisse semence. La sensation de cette liqueur étalée partout sur ma peau m'acheva totalement, j’éjaculais dans mon jeans. J’essayais de me remettre et de me contrôler pendant qu’il se rajustait l’air très pressé et honteux. Je me rasseyais bien vite laissant son sperme couler partout sur ma peau sous mon t-shirt complètement humide. Je me sentais trempé et attendais de voir ce qu’il allait me dire, souhaitant maintenant être seul le plus vite possible. Il me dit qu’il était très content, que c’était vraiment sympa de l’avoir laissé faire, que j’avais vraiment un corps qui lui plaisait et que si ça m’avait plu on pourrait remettre ça un jour de façon moins précipitée et plus complète. Je lui répondais confus que si ça n’allait pas beaucoup plus loin je lui permettrais de le refaire parce que j’étais plutôt agréablement surpris de découvrir à quel point mon ventre pouvait me procurer tant de plaisir si simplement. Il me regardait encore, mon t-shirt trempé me collait à la peau et moulait mes hanches, ma taille, laissant apparaître un peu de ma peau luisante. J’étais un peu étourdi et lui aussi. Il me dit qu’il était lui aussi un peu surpris du plaisir qu’il y avait pris mais qu’après tout ce n’était pas grand chose, qu’il était rassuré que je n’y avais pas vu de mal, que c’était vraiment délicieux, que la prochaine fois qu’on se reverrait je devrai porter le même type de vêtements et qu’il m’appellerait avant pour qu’on prenne rendez-vous et qu’on fasse ça vraiment plus longuement. Nous nous quittâmes là dessus ce soir-là et je le revis épisodiquement pendant longtemps par la suite pour bénéficier du même traitement...


Dim 10 mai 2009 Aucun commentaire