CA PLAIRA PAS à TOUT LE MONDE

 

 

Mar 23 aoû 2011 2 commentaires

Totalement soumise à mon Maître black depuis près de 6 mois, celui-ci me convoque 2 à 3 fois par semaine pour parfaire mon dressage ; lorsque j'ai répondu à son annonce, je voulais satisfaire un fantasme entretenu dès que j'ai commencé à m'habiller en femme... quand il m'a appelée quelques jours plus tard, il s'est montré de suite si autoritaire et directif que j'acceptais son rendez-vous, le soir même !!!

A l'heure convenue, je sonnais chez lui et, à genoux sur son paillasson, les mains dans le dos, j'ai attendu qu'il ouvre sa porte...
Quand il est apparu devant moi, j'ai été fascinée par son crâne rasé, son visage sévère et son imposante musculature d'autant qu'il ne portait qu'un slip blanc ! Pendant qu'il accroche à mon cou un collier de chien, il en profite pour frotter son paquet contre mon visage et, c'est à 4 pattes, tirée par une laisse que je le suis jusqu'à son salon.

Avant de s'installer dans son fauteuil, il retrousse ma minijupe sur le dos, pelote mes fesses et me demande le gode que j'avais bricolé (sur son ordre), juste avant de venir. Je sors donc de mon sac un superbe phallus artificiel de couleur noire puis, il me noue un bandeau sur les yeux :
- fais-toi jouir en imaginant que je suis en train de te baiser... Si tu me fais bander, je te prends en main dès ce soir !
Alors, je me remets en mémoire les termes de son annonce « Maître black, 35 ans, TBM, cherche travesti soumise, cérébrale, aimant les mots crus et voulant devenir femme à blacks ».

Alors, je prends le sexe en plastique et, sans la moindre difficulté, je me l'enfonce profondément :
 «  oh ! Comme c'est bon d'écarter les fesses pour son Maître black ! Vas-y, salaud, baise-moi, tronche-moi, nique-moi ; tu le sais que je suis accro à ton gros zob et que tu peux me demander tout ce que tu veux... Depuis si longtemps, j'avais besoin d'être la femelle d'un noir et qu'il m'apprenne à jouir du cul comme une vraie femme ! Mes fesses, ma bouche, mes mains et mon corps sont à toi ; tu peux en faire ce que tu veux pour toi et, même tes potes si tu le désires...
Touche mes tétons et regarde comme je suis excitée ; jamais, je ne me suis sentie aussi femelle avec un mec... Oh! Je sens tes couilles qui claquent contre mes fesses ; tes couilles pleines de jus... Oui, jouis sur mon visage » Et je remarque que sans avoir eu d'érection, ma petite culotte de dentelles est inondée ; je tremble de partout... J'attends sa réponse...

Il se lève, ôte mon bandeau et m'entraîne dans les toilettes :
- tiens ma bite quand je pisse... Je baisse son slip et je prends en mains son énorme zob turgescent et le dirige vers la cuvette ; pour les dernières gouttes, j'agite lentement afin de ne rien salir et, quand il estime que "le travail est bien fait", il s'essuie dans les boucles de ma perruque !
Il me ramène au salon, me promène dans la pièce et me fait avancer avec des petits coups de laisse sur les fesses ; de temps en temps, il enfonce un peu plus le gode. Il retourne s'asseoir et retire la fine étoffe qui emprisonne son imposante virilité ; il me cale entre ses jambes écartées et commence d'abord par me gifler les joues avec son zob !
Puis, il me prend par le cou et force ma bouche : - allez, connasse, fais ton boulot de suceuse ! Tu veux de la bite noire : tu vas en avoir... Tu veux te faire défoncer : tu te feras défoncer... Par moi, par mes potes, par des inconnus ! Tu deviendras vite mon esclave sexuelle et tu me supplieras à genoux ; tu seras à ma disposition la plus complète... Compris, lopette ?
Je lève les yeux pour lui signifier mon accord d'autant qu'il vient de me faire comprendre qu'il me prend à son service... Alors, je m'applique à sucer et à lécher ce gros sexe noir dont je commençais déjà à être folle...
- Avant que je te fasse l'honneur de te posséder, je vais t'apprendre à être une vraie suceuse ; je crois que tu peux être douée... Passe ta langue mieux que ça, pouffiasse ! Une bite de noir, c'est au moins 25 centimètres : c'est vrai aussi que ça ne se pompe pas comme une petite queue de blanc ! Tu aimes ça, hein, petite blanche vicieuse ? Tu vas adorer te faire défoncer la bouche par des bites noires quand tu seras MA femelle : tu es d'accord, ma pute à nègres ?
Ce dernier qualificatif nous fait exploser tous les 2 en même temps ; il se vide sur mon visage en une douzaine d'éjaculations abondantes... Aussitôt, il prend son Polaroïd et immortalise cette première pipe, avec gros plan sur son sexe et sur les traînées de foutre blanc... Très complice, il me les montre et me dit au passage :

- tu es prête à vivre totalement ce que tu souhaites ?

 Le "OUIIIIII " de ma réponse, les yeux dans les yeux, a valeur d'accord définitif... Jusqu'au petit matin, je l'ai pompé encore 5 fois ; copieusement insultée, injuriée, rabaissée, je prenais plaisir à être humiliée de la sorte ; chaque fois qu'il me godait, il m'arrachait mes confidences les plus secrètes, mes aveux les plus hard et ma soumission la plus totale... Il savait que j'allais lui appartenir, que j'accepterai tout de lui, que je serai heureuse de mon rôle de femelle inférieure devant la supériorité de la race noire... En rentrant chez moi, j'avais envie de hurler à chaque passant que j'appartenais à un Maître black et que j'allais, enfin, être la femelle de mes rêves...

Allongée sur le canapé du salon, je rêvassais les yeux fermés ; certaines images sont restées gravées dans ma mémoire, comme un film longtemps attendu... La scène de la première fellation me fait frissonner et je ne peux résister au besoin d'aller chercher un autre gode noir, dans la salle de bains ; au passage, j'en profite pour admirer dans le miroir le visage de cette femme épanouie et heureuse parce qu'elle a fait jouir un homme. La jambe gauche posée sur la baignoire, je m'enfile ce sexe artificiel, surprise q'il puisse entrer aussi facilement malgré la grosseur et la longueur de l'engin ! Je suis sur le point de me laisser aller au plaisir lorsque le téléphone sonne : je refuse de répondre mais l'insistance m'oblige à décrocher, dans un halètement que n'importe quelle personne attentive peut déceler même si je peux prétendre que j'ai couru pour prendre la communication...

- Oui, bonjour ! Silence au bout du fil...

- Oui, bonjour ; je vous écoute !

- Alors, petite salope blanche, contente de ta première nuit d'esclave ?

Le rouge me monte aux joues, je bafouille :

- Oui Maître, merci pour tout... Je voulais vous di...

lailatvx - le 25/08/2011 à 04h54

Belle annonce

FRANKINOU & REMINOU

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gc - le 20/12/2011 à 04h53

OK

FRANKINOU & REMINOU