Il est là, debout face à moi. Il est juste comme il faut : sûr de lui, mignon mais pas trop beau (un homme trop beau ne baise que pour son plaisir, il sait qu'il n'a pas besoin d'être bon pour
trouver avec qui tirer son coup). Il a un visage viril, les cheveux courts et bruns, les yeux noirs et les lèvres charnues, avec une mâchoire bien carrée et une petite barbe mal rasée. Son torse
est bronzé, ses pectoraux bombés juste ce qu'il faut, recouverts de petites boucles brunes. Cette merveilleuse toison se poursuit vers le bas, accroche mon regard et descend entre les abdominaux
jusqu'à mourir sur un maillot de bain blanc.
Il me voit le regarder avec gourmandise. Il suit mon regard sur son maillot. Je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre en voyant la bosse dessinée à travers. Il semble prêt à faire sauter les
coutures! Faut dire qu'un maillot aussi moulant, ça devrait être interdit! Il me dit d'approcher. Entendre sa voix rend la chose réelle tout d'un coup, et j'ai un réflexe de recul. Je n'ose pas.
Alors, sans doute parce qu'il sait bien ce que je veux au fond, il descend doucement son maillot de bain et me montre ce que je meurs d'envie de voir.
Elle est parfaite. Assez large pour en être fier, mais pas trop pour ne pas rendre ma première fois trop difficile. Les poils sont entretenus, le manche solide, les veines saillantes et surtout
ce gland! Bien rose et rond, turgescent, prêt à exploser tant il est gonflé! Sa bite est superbe, et surtout elle a ce petit détail en plus qui me fait triquer à mort : elle est bien droite, sauf
vers le gland où elle se tord un peu vers le bas. C'est une véritable incitation à la pipe! Bien plus efficace que tout ce que lui pourrait dire ou faire, c'est comme si sa bite me disait
d'elle-même d'un ton autoritaire "à genoux et suce!".
Je n'y tiens plus. Je m'approche, me mets dans la position voulue, là, à genoux, face à lui. Tout près, bien plus que la décence ne l'autorise en tout cas. Je sens son odeur de transpiration dans
les poils. Ah ce que j'aime ça! Je sors ma langue et effleure le bout du gland. Le goût est un peu salé. Je prends la bête en bouche et me laisse aller à mes envies. Je le suce comme un bonbon,
une friandise interdite pour adulte désobéissant. Je sens qu'un verrou a sauté en moi, et putain ça me plait! Ma langue travaille cette bite qui m'a tant fait envie, je me surprends à faire de
mon mieux pour lui plaire! Je la ressors pour la regarder à nouveau. Dieu qu'elle est belle! Je la branle d'une main, de l'autre je caresse frénétiquement la mienne. Je remonte son prépuce et
joue à faire tourner ma langue dessous, tout autour du gland. Mon homme gémit et me complimente sur mes talents. Je suis une bonne suceuse, dit-il. Merci, mais j'ai bien l'intention d'apprendre à
faire mieux! Je le pousse en arrière sur le lit et m'avance, toujours sur les genoux. Cette position un peu animale me plait! Je grimpe le rejoindre sur les draps et me remets à l'oeuvre.
Je le reprend à pleine bouche et commence des mouvements de va et vient en le branlant en même temps. Il semble aimer ça, et au bout de quelques instants, il passe ses mains derrière ma tête et
m'impose son rythme. D'abord lentement, en bougeant ses hanches dans un mouvement sensuel, digne des danses les plus salaces. Puis, ça va de plus en plus vite. De plus en plus saccadé. Voilà
qu'il me baise littéralement la bouche! Son gland garde ce merveilleux goût dont je suis déjà accroc, et chaque passage sur ma langue me fait saliver un peu plus. Soudain, il se retire! Il me dit
qu'il ne veut pas tout gâcher si vite. Il m'attrape comme si je ne pesais rien et me retourne. Toujours à quatre pattes, il se met derrière moi et se lèche les lèvres.
Il me palpe les fesses. Il faut dire que si j'ai bien une partie de mon corps dont je peux être fier, c'est celle-là! Elles sont bien bombées et bien fermes, à croire que j'étais fait pour me
faire baiser! Il joue avec, les écarte et les pétrit. Il m'enlève mon maillot de bain et fait courir son doigt le long de ma raie. Puis, doucement, il approche son pouce mouillé de salive de mon
petit trou. Il presse sur l'entrée, et l'insère délicatement. La sensation est délicieuse, je laisse échapper un soupir chargé de plaisir. Il fait quelques mouvements tout en douceur, puis le
remplace par son index. Il est plus long et ça me plait bien. Putain, ça y est, à peine j'y ai goûté que je me mets à avoir mes préférences! Il fait des mouvements en rond, pour m'écarter
l'entrée, et rapidement fait passer un deuxième doigt, puis un troisième.
"Et ben dis-moi, ça rentre tout seul! T'en avais vraiment envie hein? Tu vas pas être déçu..."
Il profite du moment pour me claquer la fesse droite, non sans laisser échapper un éclat de rire. Je n'y prête pas attention, tout ce qui compte c'est qu'il reprenne son délicieux traitement à
l'aide de ses doigts. "Jeux de main, jeux de vilain" il parait? Et bien ce soir j'ai très envie d'être vilain on dirait...
Il me demande si ça me plait. Plutôt deux fois qu'une oui! Je le laisse jouer avec mon cul, et je savoure la sensation. Il me demande, l'air joueur, de quoi j'aurais envie maintenant.
"Ta bite!".
"Hmmmm... Oui d'accord, mais comment ça? Tu voudrais la sucer encore un peu...? Nan parce que, si ce que je fais là ne te plait pas trop, j'arrête tu sais..."
"Arrête de t'amuser avec moi et mets-la moi dans le cul!"
" je ne sais pas trop... Je ne suis pas sûr que ça te plaise... Peut-être que si tu me le demandais mieux..."
"Ne me fais plus languir, j'en crève d'envie! Enfonce-moi ta queue!"
"Très bien ma petite salope, tu l'auras voulu!"
Il empoigne alors son manche de la main droite et le dirige vers mon anus déjà bien ouvert, qui ne demande que ça. Je sens son gland bien dur qui force sur l'entrée, trop étroite pour lui. Avec
un gémissement, le gland disparaît dans mon cul. Je laisse échapper un petit cri. Pas si facile le départ! Il fait une pause, me caresse le bas du dos un instant, puis recommence à peser sur son
membre. L'insertion reprend, centimètre par centimètre. Je sens ce zob étranger qui me perfore le cul. La douleur est bien là, mais l'excitation est si intense, et la préparation a été si bonne
que je n'y prête pas attention. J'ai trop attendu ce moment pour en perdre la moindre goutte! Lentement, je sens sa bite qui me pénètre le bas ventre et je savoure chaque parcelle de sa peau,
chaque relief veineux. Puis viennent les poils qui me titillent les fesses et enfin, lorsque je sens ses couilles contre ma peau qui frémit, alors je sais qu'il est en moi, totalement.
Il fait une pause et reste immobile. Il guette ma réaction, écoute ma respiration. Moi, je suis subjugué par cette incroyable sensation. Mes yeux étaient restés ouverts tout le temps de
l'insertion, mais à présent ils sont fermés, pour que je puisse me concentrer sur mon cul. Je sens que mon petit trou n'a plus rien de si petit justement! Il est dilaté, tendu même autour de ce
membre qui me remplit. Je sens toute mon anatomie qui enserre cette bite, épouse ses contours comme si j'avais été fait à sa mesure. Pas le temps de m'attarder là dessus plus que cela, voilà que
mon homme se retire aussi sûrement qu'il est entré. Il ressort totalement. Je ressens alors un vide incroyable, comme si on m'avait fait entrevoir un secret défendu merveilleux pour mieux m'en
priver ensuite!
Il est là, debout face à moi. Il est juste comme il faut : sûr de lui, mignon mais pas trop beau (un homme trop beau ne baise que pour son plaisir, il sait qu'il n'a pas besoin d'être bon pour trouver avec qui tirer son coup). Il a un visage viril, les cheveux courts et bruns, les yeux noirs et les lèvres charnues, avec une mâchoire bien carrée et une petite barbe mal rasée. Son torse est bronzé, ses pectoraux bombés juste ce qu'il faut, recouverts de petites boucles brunes. Cette merveilleuse toison se poursuit vers le bas, accroche mon regard et descend entre les abdominaux jusqu'à mourir sur un maillot de bain blanc.
Il me voit le regarder avec gourmandise. Il suit mon regard sur son maillot. Je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre en voyant la bosse dessinée à travers. Il semble prêt à faire sauter les coutures! Faut dire qu'un maillot aussi moulant, ça devrait être interdit! Il me dit d'approcher. Entendre sa voix rend la chose réelle tout d'un coup, et j'ai un réflexe de recul. Je n'ose pas. Alors, sans doute parce qu'il sait bien ce que je veux au fond, il descend doucement son maillot de bain et me montre ce que je meurs d'envie de voir.
Elle est parfaite. Assez large pour en être fier, mais pas trop pour ne pas rendre ma première fois trop difficile. Les poils sont entretenus, le manche solide, les veines saillantes et surtout ce gland! Bien rose et rond, turgescent, prêt à exploser tant il est gonflé! Sa bite est superbe, et surtout elle a ce petit détail en plus qui me fait triquer à mort : elle est bien droite, sauf vers le gland où elle se tord un peu vers le bas. C'est une véritable incitation à la pipe! Bien plus efficace que tout ce que lui pourrait dire ou faire, c'est comme si sa bite me disait d'elle-même d'un ton autoritaire "à genoux et suce!".
Je n'y tiens plus. Je m'approche, me mets dans la position voulue, là, à genoux, face à lui. Tout près, bien plus que la décence ne l'autorise en tout cas. Je sens son odeur de transpiration dans les poils. Ah ce que j'aime ça! Je sors ma langue et effleure le bout du gland. Le goût est un peu salé. Je prends la bête en bouche et me laisse aller à mes envies. Je le suce comme un bonbon, une friandise interdite pour adulte désobéissant. Je sens qu'un verrou a sauté en moi, et putain ça me plait! Ma langue travaille cette bite qui m'a tant fait envie, je me surprends à faire de mon mieux pour lui plaire! Je la ressors pour la regarder à nouveau. Dieu qu'elle est belle! Je la branle d'une main, de l'autre je caresse frénétiquement la mienne. Je remonte son prépuce et joue à faire tourner ma langue dessous, tout autour du gland. Mon homme gémit et me complimente sur mes talents. Je suis une bonne suceuse, dit-il. Merci, mais j'ai bien l'intention d'apprendre à faire mieux! Je le pousse en arrière sur le lit et m'avance, toujours sur les genoux. Cette position un peu animale me plait! Je grimpe le rejoindre sur les draps et me remets à l'oeuvre.
Je le reprend à pleine bouche et commence des mouvements de va et vient en le branlant en même temps. Il semble aimer ça, et au bout de quelques instants, il passe ses mains derrière ma tête et m'impose son rythme. D'abord lentement, en bougeant ses hanches dans un mouvement sensuel, digne des danses les plus salaces. Puis, ça va de plus en plus vite. De plus en plus saccadé. Voilà qu'il me baise littéralement la bouche! Son gland garde ce merveilleux goût dont je suis déjà accroc, et chaque passage sur ma langue me fait saliver un peu plus. Soudain, il se retire! Il me dit qu'il ne veut pas tout gâcher si vite. Il m'attrape comme si je ne pesais rien et me retourne. Toujours à quatre pattes, il se met derrière moi et se lèche les lèvres.
Il me palpe les fesses. Il faut dire que si j'ai bien une partie de mon corps dont je peux être fier, c'est celle-là! Elles sont bien bombées et bien fermes, à croire que j'étais fait pour me faire baiser! Il joue avec, les écarte et les pétrit. Il m'enlève mon maillot de bain et fait courir son doigt le long de ma raie. Puis, doucement, il approche son pouce mouillé de salive de mon petit trou. Il presse sur l'entrée, et l'insère délicatement. La sensation est délicieuse, je laisse échapper un soupir chargé de plaisir. Il fait quelques mouvements tout en douceur, puis le remplace par son index. Il est plus long et ça me plait bien. Putain, ça y est, à peine j'y ai goûté que je me mets à avoir mes préférences! Il fait des mouvements en rond, pour m'écarter l'entrée, et rapidement fait passer un deuxième doigt, puis un troisième.
"Et ben dis-moi, ça rentre tout seul! T'en avais vraiment envie hein? Tu vas pas être déçu..."
Il profite du moment pour me claquer la fesse droite, non sans laisser échapper un éclat de rire. Je n'y prête pas attention, tout ce qui compte c'est qu'il reprenne son délicieux traitement à l'aide de ses doigts. "Jeux de main, jeux de vilain" il parait? Et bien ce soir j'ai très envie d'être vilain on dirait...
Il me demande si ça me plait. Plutôt deux fois qu'une oui! Je le laisse jouer avec mon cul, et je savoure la sensation. Il me demande, l'air joueur, de quoi j'aurais envie maintenant.
"Ta bite!".
"Hmmmm... Oui d'accord, mais comment ça? Tu voudrais la sucer encore un peu...? Nan parce que, si ce que je fais là ne te plait pas trop, j'arrête tu sais..."
"Arrête de t'amuser avec moi et mets-la moi dans le cul!"
" je ne sais pas trop... Je ne suis pas sûr que ça te plaise... Peut-être que si tu me le demandais mieux..."
"Ne me fais plus languir, j'en crève d'envie! Enfonce-moi ta queue!"
"Très bien ma petite salope, tu l'auras voulu!"
Il empoigne alors son manche de la main droite et le dirige vers mon anus déjà bien ouvert, qui ne demande que ça. Je sens son gland bien dur qui force sur l'entrée, trop étroite pour lui. Avec un gémissement, le gland disparaît dans mon cul. Je laisse échapper un petit cri. Pas si facile le départ! Il fait une pause, me caresse le bas du dos un instant, puis recommence à peser sur son membre. L'insertion reprend, centimètre par centimètre. Je sens ce zob étranger qui me perfore le cul. La douleur est bien là, mais l'excitation est si intense, et la préparation a été si bonne que je n'y prête pas attention. J'ai trop attendu ce moment pour en perdre la moindre goutte! Lentement, je sens sa bite qui me pénètre le bas ventre et je savoure chaque parcelle de sa peau, chaque relief veineux. Puis viennent les poils qui me titillent les fesses et enfin, lorsque je sens ses couilles contre ma peau qui frémit, alors je sais qu'il est en moi, totalement.
Il fait une pause et reste immobile. Il guette ma réaction, écoute ma respiration. Moi, je suis subjugué par cette incroyable sensation. Mes yeux étaient restés ouverts tout le temps de l'insertion, mais à présent ils sont fermés, pour que je puisse me concentrer sur mon cul. Je sens que mon petit trou n'a plus rien de si petit justement! Il est dilaté, tendu même autour de ce membre qui me remplit. Je sens toute mon anatomie qui enserre cette bite, épouse ses contours comme si j'avais été fait à sa mesure. Pas le temps de m'attarder là dessus plus que cela, voilà que mon homme se retire aussi sûrement qu'il est entré. Il ressort totalement. Je ressens alors un vide incroyable, comme si on m'avait fait entrevoir un secret défendu merveilleux pour mieux m'en priver ensuite!
"Qu'est-ce que tu fais, remets-la.."
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase